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Affaire de harcèlement à la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun : James Mouangue Kobila devant la justice


Le président de la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun, James Mouangue Kobila, se retrouve au cœur d’une affaire de harcèlement ****** et d’accusations multiples portées par dame Tsemo, chef du service de traduction et interprétation au sein de la commission. Les deux parties comparaîtront aujourd’hui au tribunal de première instance de Yaoundé, marquant le début d’un procès qui s’annonce tendu.

Les allégations portées contre James Mouangue Kobila incluent des accusations de harcèlement ******, outrage privé à la pudeur, menaces sous conditions, chantage, blessures légères et diffamation. La plaignante affirme avoir subi un comportement inapproprié de la part du président de la CDHC depuis janvier 2021, avec des convocations tardives et des entrevues prolongées.

Selon des informations rapportées par Jeune Afrique, la situation aurait atteint un point critique lors de missions à Maroua (région de l’Extrême-Nord du Cameroun) et à Kigali (Rwanda) en 2022. Malgré les tentatives de la plaignante de dissiper les malentendus, la situation aurait conduit à son éloignement de ses fonctions en février 2023.

James Mouangue Kobila nie fermement les allégations, affirmant que la plaignante a été éloignée de ses fonctions en raison de son « incompétence » et de son incapacité à rédiger des discours lors des cérémonies. Il a publié une note d’observation mettant en avant ces aspects depuis 2022.

L’audience d’aujourd’hui servira probablement à l’identification des parties et lancera un procès qui pourrait s’avérer long et tumultueux.





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