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‘Vous serez traquée, vous savez qui je suis?’: Voici pourquoi Nourane Foster encore dans les menaces

• Nourane Foster a encore menacé de s’en prendre à un Camerounais

• Cette fois, il ne s’agit pas d’un policier, mais d’une activiste

• Cette dernière habite en France

Dans un message qu’elle a envoyé à Carine, connue sous le nom de « Amazone de la Résistance », Nourane Foster s’estimant diffamée, a proféré toutes sortes de menaces qui rappellent l’épisode de son altercation avec des policiers il y a quelques années.

« Madame, vous n’allez pas vous allez répondre de votre acte devant les plus hautes juridictions et croyez-moi, vous n’allez pas vous en sortir de cette affaire. Trop c’est trop, j’ai été très tolérante avec vous. Vous serez traquée, que vous soyez en diaspora ou pas, retenez bien. Vous avez diffamé mon entreprise, vous savez qui je suis? Bref vous verrez », a envoyé Nourane Foster à Carine.

Ce n’est pas la première fois que Nourane Foster s’illustre en proférant des menaces et en voulant démontre sa toute puissance à travers l’expression « vous savez qui je suis? ».

L’année dernière, la députée a eu de vives altercations avec un policier à Bafoussam.

En effet, la députée Nourane Foster se rendait à Bafoussam pour, lorsque son véhicule a été confronté à un check-point. Il paraît que le gouverneur de la région de l’Ouest assistait à une séance de prière collective à l’occasion de la fête du mouton, et qu’il a donc fait bloquer certaines artères puisque ladite prière se tenait sur la voie publique. L’explication est simple, la mosquée principale de Bafoussam ne pouvait pas accueillir tout ce beau monde. D’ailleurs c’est toujours ainsi que les choses se passent dans cette ville durant les grandes manifestations musulmanes.

Sauf que, députée 2.0 de son Etat, l’honorable aurait insisté pour passer par la route bloquée, et donc aurait refusé les voies de contournement que lui auraient suggérées les officiers présents sur place.

S’en est donc suivi la rixe verbale dont je vous ai parlé, des éclats de voix et des « Tu veux que j’appelle mon mari ? », pour finalement se terminer par une bousculade du policier envers la représentante de la population camerounaise…

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