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Vol MH370: des proches des victimes veulent de nouvelles recherches


Les négociations ont repris dimanche au Caire en vue d’obtenir une trêve entre Israël et le Hamas pendant le ramadan à Gaza, où les bombardements israéliens meurtriers se poursuivent dans le territoire palestinien menacé de famine selon l’ONU.

Selon un média progouvernemental égyptien, des représentants du Qatar et des Etats-Unis sont arrivés dans la capitale égyptienne. Là, des envoyés du Hamas doivent leur « donner une réponse à la proposition élaborée à Paris » fin janvier, a indiqué une source proche du mouvement islamiste.

Cette proposition des pays médiateurs – Qatar, Etats-Unis, Egypte – porte sur une pause de six semaines des combats et la libération de 42 otages contre celle de Palestiniens emprisonnés par Israël.

L’objectif est de parvenir à une trêve avant le début du mois du jeûne musulman, qui commencera les 10 ou 11 mars cette année.

« Les Israéliens ont accepté en principe les éléments de l’accord », a assuré samedi un haut responsable américain à Washington alors qu’Israël n’a pas confirmé ces informations.

Une trêve pourrait être signée d’ici « 24-48 heures » si Israël « accepte les demandes du Hamas, qui incluent le retour dans le nord de Gaza des Palestiniens déplacés et une augmentation de l’aide humanitaire », a dit dimanche à l’AFP un haut responsable du Hamas, sous couvert d’anonymat.

Le mouvement palestinien réclame en outre un cessez-le-feu permanent et un retrait israélien contre la libération des otages détenus à Gaza.

Famine « quasiment inévitable »

Sur le terrain, plusieurs frappes aériennes ont ciblé dans la nuit les villes de Khan Younès et Rafah, dans le sud, selon un correspondant de l’AFP à Gaza.

Le gouvernement du Hamas a également indiqué que des tirs nourris d’artillerie avaient visé Jabaliya, Beit Hanoun, Zeitoun et Tal al-Hawa, dans le nord.

En près de cinq mois, les opérations militaires israéliennes déclenchées en représailles à l’attaque sans précédent du Hamas en Israël le 7 octobre ont fait 30.410 morts dans la bande de Gaza, en majorité des civils, a indiqué dimanche le ministère de la Santé. Il a fait état de 90 morts en 24 heures, dont 14 membres d’une même famille dans une frappe à Rafah.

Le conflit a aussi provoqué une catastrophe humanitaire et la famine est « quasiment inévitable » pour 2,2 millions de personnes, soit l’immense majorité de la population de Gaza, d’après Jens Laerke, porte-parole de…

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