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voici pourquoi son fils Alexandre n’a pas touché un centime à sa mort


La date du 28 janvier 2005 est marquée d’une vive peine parmi les Français. En cause, le décès de Jacques Villeret. C’est une maladie hépatique qui a provoqué une hémorragie interne et a causé la mort de celui qui comptait dans le cœur des passionnés de cinéma. Celle qui l’a aussi pleuré ? Seny, sa compagne. « Nous nous sommes rencontrés à un moment où nous étions très malheureux chacun dans notre vie et nous avons décidé d’essayer de ne plus l’être ensemble. », avait confié l’acteur à Gala.

La vie personnelle de l’acteur a également été marquée par sa rencontre avec Irina Tarassov, son ex-femme, dont il a adopté le fils, Alexandre. Et ce dernier marche dans les pas de l’acolyte de Louis de Funès. Pour autant, c’est derrière la caméra, en tant que réalisateur, que le jeune homme compte évoluer. « Ayant vu papa répéter à la maison avec une telle précision dans le travail, une telle excellence dans l’exécution, je ne pouvais pas imaginer une seconde devenir acteur. », a-t-il confié dans les colonnes de Télé Star.

Jacques Villeret, figure emblématique du 7ᵉ art

En 2013, il a ainsi réalisé son premier long-métrage intitulé En pays cannibale, un film qui suit la trace d’un dealer dans les rues de la capitale. « J’ai toujours aimé les personnages en marge, avec des gueules, des cicatrices, mais qui ont une réelle sensibilité. », a-t-il expliqué au Parisien. S’il a hérité de la passion du cinéma de son père, l’argent et les biens de ce dernier, en revanche, n’ont jamais été perçus.

L’homme âgé de 48 ans n’a pas touché un centime de la fortune de l’acteur après son décès. En cause ? Initialement, c’est Ghislaine Villeret, la sœur de la star, qui a été désignée comme héritière. Cette dernière a toutefois renoncé à l’héritage, convaincue que son frère était criblé de dettes à son décès.

Une guerre d’héritage après le décès de Jacques Villeret

Cette décision a été également prise par les autres membres de la famille du comédien. C’est notamment le cas de son fils Alexandre. La surprise a néanmoins rapidement gagné le clan. Tous ont fait face à l’arrivée soudaine d’un certain Ahmin Boufroura. Ce dernier s’est présenté comme le demi-frère de l’acteur et a ainsi revendiqué ses biens.

En quelques mois, l’homme est parvenu à vendre pas moins d’une quarantaine d’objets qui auraient appartenu à la star, selon ses dires. Certains ont même été cédés pour 10 000 euros l’unité. Même Nicolas Sarkozy s’est vu offrir l’une des toiles de l’acteur alors qu’il occupait l’Élysée. Problème, Jacques Villeret ne s’est jamais essayé à la peinture. C’est Ahmin Boufroura qui en était l’auteur.

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Un décès marqué par les révélations de l’ex-femme de Jacques Villeret

En 2013, l’homme a finalement été condamné pour escroquerie. Résultat, c’est Ghislaine Villeret, la primo héritière, qui a repris la main sur la succession de Jacques Villeret. La mort de ce dernier a également été marquée par les révélations de son ex-femme, Irina Tarassov. Sur le plateau de Thierry Ardisson en 2005, elle avait affirmé qu’il lui avait dit qu’il « n’était pas programmé pour vivre ». Alcoolique, il aurait eu des accès de violence et aurait affiché une double personnalité selon les dires de la témoin.

Des propos qui ont conduit la sœur de l’acteur à prendre la parole. Consternée de voir son frère ainsi « sali », Ghislaine Villeret avait déploré : « C’est présenter Jacques comme un monstre, ce qu’il n’était pas. » Si l’alcoolisme de Jacques Villeret n’a pas été contredit par sa sœur, il n’aurait cependant jamais été violent physiquement, même si elle a reconnu qu’il pouvait être verbalement agressif.





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