vives tensions sur le plateau, “Calife à la place du calife »
« Ce qui devait arriver est finalement arrivé », diront les incorrigibles pessimistes. Pour le coup, ceux qui ont tout de suite présumé que l’association Léa Salamé – Christophe Dechavanne allait faire de ces étincelles propres à mettre le feu à un plateau auraient eu du flair.
Si connivence il y a eu entre l’animatrice de Quelle époque ! et son second, cette belle entente serait désormais de l’histoire ancienne. C’est en septembre 2022 que la journaliste et l’ancienne figure de TF1 ont commencé à s’imposer en deuxième partie de soirée chaque samedi sur France 2. Bien que le succès soit toujours au rendez-vous, l’atmosphère en coulisses, elle, serait devenue « ultra-pesante. »
La fin de la « belle entente » entre Léa Salamé et Christophe Dechavanne ?
C’est en tout cas ce qu’ont rapporté au magazine Public des proches des deux présentateurs. D’après leur témoignage, la compagne de Raphaël Glucksmann aurait beaucoup de mal à supporter « la place grandissante que prend » Christophe Dechavanne dans le talkshow. « Dechavanne veut être calife à la place du calife », avancent-ils.
Du reste, Léa Salamé ne souffrirait plus une manie du co-animateur de l’émission : celle de constamment lui couper la parole. « Il reprend ses questions comme si elle les avait mal posées, comme si elle était son élève. Ils ont dû retourner une séquence entière la semaine dernière, car il n’arrêtait pas de l’interrompre et Léa, passablement agacée, a fini par dire : ‘Christophe, stop, merci, c’est moi qui mène l’interview’ », a pu rapporter un membre de la production à l’hebdomadaire people.
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Valérie Benaïm à propos de Christophe Dechavanne : « Il ne me laissait pas exister »
Manifestement, l’animatrice n’est pas la seule à déplorer ce travers chez celui qui a été à la tête de shows majeurs sur la première chaîne dans les années 1990. Récemment, Valérie Benaïm a fait part de sa propre expérience avec l’homme dans Touche pas à mon poste.
« Il sortait de Nice People, il était très tendu parce que justement, il avait une sorte de traversée du désert et il sentait que le retour dans Les 100 plus grands c’était sa chance pour revenir. (…) On a fait une première émission où lui n’était absolument pas habitué à travailler en duo, moi beaucoup habituée à travailler en duo. Ça s’est très mal passé cette émission, je ne peux pas mentir. Parce qu’il était hyper tendu, parce qu’il ne me laissait pas exister, que je voulais exister, que je sentais que sous la table, il me disait : ‘Tais-toi, c’est à moi de parler’ », a-t-elle pu confier.
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Christophe Dechavanne : « Il n’y a jamais eu l’ombre d’un accroc entre nous »
Pour l’heure, ni Léa Salamé ni Christophe Dechavanne n’ont réagi à ces allégations. En avril dernier, dans un entretien accordé au magazine Society, l’ancienne gloire de la Première chaîne admettait néanmoins ne pas forcément être à son aise dans le siège qui lui a été attribué. « C’est un vrai challenge d’être numéro deux quand vous avez été numéro un pendant plus de 30 ans. On n’est pas un binôme, c’est l’émission de Léa. Je suis en quelque sorte son bras droit », avait-il déclaré.
Aussi, dans les colonnes de Télé 7 jours à la même période, le sexagénaire s’amusait de faire mentir les mauvaises langues. « Beaucoup de gens l’avaient mise en garde : ‘Méfie-toi, Dechavanne va te bouffer, c’est une bête de télé.’ Ce n’est pas du tout mon état d’esprit. Je suis quelqu’un de loyal. Avec Léa, on s’entend très bien. On se marre beaucoup. Il n’y a jamais eu l’ombre d’un accroc entre nous. Alors, ceux qui avaient pronostiqué un échec de notre collaboration… ils en ont eu, du nez », avait-il signifié.
