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Stéphane Bern : ses confidences bouleversantes sur son « éducation très dure et très austère »



Invité du podcast Dhombres et de lumières de Télé-Loisirs, Stéphane Bern est revenu sur son enfance. L’animateur a fait de rares confidences sur ses parents, qui l’ont éduqué de manière très stricte.

Stéphane Bern fait toujours preuve de beaucoup de pudeur lorsqu’il parle de son enfance. Néanmoins, il s’est confié à plusieurs reprises sur cette période passée auprès de parents très exigeants. « Je n’ai pas été un enfant martyr. J’ai été battu, quand c’était nécessaire. À l’époque, les châtiments corporels existaient. Et je n’ai pas connu de jour sans prendre une gifle, je le reconnais« , avait-il ainsi confié en janvier 2022 face à Audrey Crespo-Mara, dans Sept à Huit. « J’ai adoré ma mère, pour autant. Vous êtes dans une situation psychanalytique tout à fait intéressante. Vous aimez votre bourreau. Et en même temps, je ne lui en ai jamais voulu parce qu’elle m’a donné beaucoup d’amour et de tendresse aussi« , avait-il ajouté.

Cette fois, c’est dans le podcast Dhombres et de lumières de Télé-Loisirs que le compagnon de Yori Bailleres s’est livré. « Je crois que je suis plus heureux aujourd’hui que lorsque j’étais enfant. J’étais un garçon rétif à la discipline, rebelle et, à la fois, fasciné par les familles royales parce qu’elles me paraissaient extraordinaires et exemplaires« , a-t-il commencé par se souvenir.

« Je pensais que mes parents n’étaient pas les miens, tellement ils étaient durs »

Les parents de Stéphane Bern (qui sont aujourd’hui tous les deux décédés) n’ont pas toujours été tendres envers leur enfant. « À l’époque, je pensais que mes parents n’étaient pas les miens, tellement ils étaient durs. Avec le temps, on relativise, mais c’était une éducation très dure et très austère. Pleine d’amour également, mais qui ne transigeait pas sur les principes« , a avoué le présentateur de Secrets d’histoire.

Il tient cependant à remercier son père et sa mère pour une chose : la courtoisie qu’ils lui ont inculquée. « C’est un passeport pour l’existence, un viatique pour la vie qui m’a donné les clés pour être à l’aise avec tout le monde. Je peux parler au roi d’Angleterre comme, le lendemain, à ma boulangère. Ce que je n’aime pas, ce sont les gens qui rampent avec les puissants et sont odieux avec les faibles« , a-t-il souligné. Selon lui, ses parents lui ont rendu un « service incroyable«  en étant intransigeants à ce sujet.



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