Slow life, slow food, slow cosmétique… Le monde souhaite désormais tourner au ralenti. À l’heure où les routines beauté deviennent de plus en plus conséquentes, ce mouvement vise à consommer moins de produits mais de meilleure qualité, afin de préserver sa santé, comme la planète. Alors, faut-il se mettre à la slow cosmétique ?
Perturbateurs endocriniens, allergènes, ingrédients cancérigènes… On en a marre de consommer des produits nocifs au quotidien sans le savoir. Les beauty addicts souhaitent retrouver une routine plus naturelle, écologique et en même temps économique afin de consommer moins mais mieux, sans arrêter de se chouchouter pour autant. Alors que les marques lancent en permanence des nouveautés à un rythme effréné, les adeptes de la slow cosmétique désirent opter pour des alternatives plus saines. Mais d’où vient ce mouvement ?
Le concept de la slow cosmétique vient directement de chez nos amis belges. L’aromathérapeute et cosmétologue Julien Kaibeck est à l’origine de cette initiative inspirée de la slow food. L’idée ? Promouvoir la consommation de cosmétiques bons pour le corps et l’environnement. Depuis 2012, l’association qu’il a fondée appelle les femmes à mieux comprendre les besoins de leur épiderme afin de déterminer ce dont elles ont vraiment besoin. Grâce à ses bénévoles, Slow Cosmétique® traque les marques, décrypte les étiquettes pour récompenser les formulations propres et le marketing transparent par un label allant d’une à trois étoiles, comme les étoiles du Guide Michelin.
Adopter la slow cosmétique, c’est revenir aux fondamentaux. En plus d’apprendre à déchiffrer les étiquettes de ses produits de beauté, il est essentiel de se poser les bonnes questions en respectant ces trois principes : la connaissance, le bon sens, et l’éthique. Il faut donc se demander : “Ce produit est-il bon pour ma peau ? Fonctionne-t-il vraiment ? Est-il sans danger pour ma santé et l’environnement ?” Toutefois, si la slow cosmétique promeut les alternatives naturelles, cela ne signifie pas qu’il faut utiliser uniquement des produits fabriqués soi-même ! Même si cette pratique fait partie du mouvement, le plus important reste d’aller vers des produits qui suivent réellement une démarche saine et écologique. À titre d’exemple, l’huile de jojoba permet d’hydrater la peau, de la démaquiller, de lutter contre l’acné et le vieillissement de celle-ci, en plus de nourrir votre chevelure en profondeur. Pas mal, non ?
L’association Slow Cosmétique® possède une charte qui lui permet d’attribuer son label à différentes marques. Sur les produits, on peut d’ailleurs apercevoir le logo de l’association signifiant que la marque est engagée selon des valeurs bien précises. Une marque labellisée doit donc respecter ces quatre critères :
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