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ses confidences sur son ablation de l’utérus


Depuis qu’elle a été diagnostiquée de l’endométriose, Lorie Pester témoigne sur cette maladie dans les médias. À 41 ans, la chanteuse et comédienne a traversé des difficultés importantes pour concevoir un enfant en raison de sa maladie. Son rêve s’est finalement réalisé en 2020 avec la naissance de Nina, une source de bonheur immense pour elle et son compagnon, Yann Dernaucourt.

Cependant, après un répit de neuf mois, les douleurs liées à sa maladie ont réapparu de manière plus intense. Face à cette situation, Lorie Pester a décidé de subir une ablation de l’utérus, également connue sous le nom d’hystérectomie.

Lorie Pester a dû être opérée

Elle évoquait cette opération de chirurgie lors de son passage dans le podcast InPower de Louise Aubery. Elle avait alors partagé ses réflexions : « Après l’accouchement, les douleurs sont revenues, mais de manière encore plus intense, au point où je ne pouvais tout simplement plus les supporter ! », avait-elle confié.

Après moult concertation avec son compagnon, déjà papa d’un fils de 12 ans, Lorie avait alors décidé d’éloigner pour de bon la possibilité d’avoir un autre enfant en se faisant enlever l’utérus. En plus de l’endométriose, Lorie Pester souffrait également d’adénomyose, une affection similaire mais située dans l’utérus. L’ablation de l’utérus était la seule solution pour traiter cette maladie.

crédit photo : Capture d’écran France 5

Lorie Pester maman : sa fille, sa priorité

Dans son ouvrage « Revivre », paru le 21 mars, Lorie Pester revenait une nouvelle fois sur son choix difficile d’ablation de l’utérus pour soulager les douleurs causées par l’endométriose. Cette décision délicate, elle l’a également évoquée lors de son passage sur le plateau de C l’hebdo le samedi 23 mars. Lors de son interview avec Aurélie Casse dans C l’hebdo, Lorie Pester confie que l’annonce de la date de l’opération a déclenché chez elle une crise de panique, dont elle n’a pas compris immédiatement la cause.

Elle a finalement réalisé, lors d’une séance d’hypnose, que sa peur était liée à sa fille, Nina. Son subconscient assimilait son utérus à sa fille, et la perspective de perdre son utérus était perçue comme une menace pour sa relation avec sa fille.

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