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Sérail: Voici enfin la cellule de renseignement personnelle de Chantal Biya la première Dame

• Au Cameroun, les renseignements sont gérés par des officiers israéliens

• Ces derniers travaillent en « osmose » avec des éléments camerounais

• Même la première dame Chantal Biya a son propre service de renseignement

Dans son livre « Nos chers espions en Afrique », Antoine Glaser parle de comment le Cameroun gère ses renseignement en collaboration avec des anciens officiers du Mossad, le célèbre service de renseignement israélien. L’auteur dans le livre révèle que même la première Dame Chantal Biya a sa propre cellule de renseignement.

Chantal Biya, à croire ce qu’a écrit Antoine Glaser dans son livre, a son propre service de renseignent grâce il surveille, pas le président, mais plusieurs ministres et leurs épouses.

Dans le livre, l’auteur raconte une anecdote digne d’un film d’espions américain.

Il écrit ceci: « Au Cameroun, pays où les services nationaux vivent en osmose avec d’anciens officiers du renseignement israélien, en est la preuve. Même la première dame, Chantal Biya, y a son propre service de renseignement et pas, comme le disent les mauvaises langues, pour surveiller «Monsieur» de très près. C’est avant tout un symbole de pouvoir. À la présentation d’une cérémonie de vœux, devant un aréopage d’épouses de ministres et autres femmes d’influence, les participantes étaient contraintes de laisser leur portable à l’entrée… C’est dire la paranoïa sécuritaire au palais alors qu’aucun secret n’a jamais circulé dans ces réunions de courtoisie. L’une des participantes a cependant cru être la plus maligne : elle a gardé son appareil et envoyé un texto à une amie. Un acte qui a vite été repéré par les grandes antennes et autres équipements de surveillance installés par les Israéliens sur le toit et dans le palais. À la sortie, toutes les participantes ont été interrogées et la coupable retrouvée. On ne sait pas quelle a été la sanction pour ce crime de lèse-majesté » .

L’on savait déjà que la première dame du Cameroun est une pièce maîtresse dans la conservations du pouvoir de Biya. Plusieurs informations indiquent que plusieurs ministres lui doivent leurs nomination.

L’on raconte également que le SGPR Ferdinand Ngoh Ngoh est son meilleur fidèle.

« Mais dans les couloirs du palais d’Etoudi, cela fait bien longtemps que l’on ne moque plus ouvertement le style flamboyant de Chantal Biya, 48 ans. On sait ce qu’il en coûte de la sous-estimer. On n’ignore pas non plus que la seconde épouse du chef de l’État camerounais peut être un allié de poids », écrivait Jeune Afrique à son sujet.

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