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A l’approche de la date anniversaire de sa disparition, le 5 décembre 2017, Johnny Hallyday revient toujours dans l’actualité: cette fois, deux inédits, sur deux labels différents, se talonnent.

« Un cri » et « Grave moi le coeur » ne sont pas les premiers inédits tirés des limbes: « La nuit avec moi » et « Deux sortes d’hommes » avaient été publiés en 2020.

Il y a donc d’abord « Un cri » composé et réalisé par Yodelice, un des complices (guitariste-producteur) des dernières années du chanteur. La chanson figure au coeur de « Made in Rock’n’Roll », album qui compile dix autres titres déjà connus du « Taulier », remastérisés pour l’occasion. L’ensemble, très rock, est publié vendredi chez Parlophone, label dans la galaxie Warner, dernière maison de disques de la star.

Soit deux semaines avant « Grave moi le coeur », livré dans une intégrale des chansons de Johnny revisitées en symphonique et supervisées par un autre de ses anciens bras-droits, l’arrangeur-star Yvan Cassar, qui a travaillé avec Vangelis ou encore Charles Aznavour.

Sortie prévue le 1er décembre sous l’égide d’Universal, maison de disques historique du « rockeur préféré des Français ». Avant une reprise de la tournée « Johnny Symphonique » en mars et avril 2024.

« Un cri » date de février 2017, période où Johnny, qui vient d’apprendre qu’il est malade d’un nouveau cancer, « ressent un besoin de faire de la musique hors d’une configuration d’album » a raconté Yodelice à quelques journalistes, dont l’AFP, en début de semaine.

« Jouer avec mon pote »

Chose rare, l’artiste pose sa voix sur une maquette, accompagné d’une guitare acoustique blues, alors que, d’habitude, il se met derrière le micro avec un groupe pour emballer un produit fini.

Mais la chanson en restera à cette première ébauche car elle ne s’inscrit pas dans le disque mis en route un peu plus tard, « Mon pays c’est l’amour », réalisé par Yodelice, qui sortira à titre posthume en 2018.

Ebranlé par la disparition de l’interprète de « Allumer le feu », Yodelice laissera ce titre de côté. Jusqu’à ce que la ferveur intacte des fans le pousse à retravailler le morceau. En isolant la voix, l’urgence du ton convoque une instrumentation plus rock, dont Yodelice s’est chargé en grande partie. « J’avais l’impression de jouer avec mon pote », confie le musicien.

Le texte signé Vincent Walter Jacob, musicien inconnu du grand public, revêt un aspect testamentaire, entre trajectoire…



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