Présidentielles de 2025 : le candidat ‘idéal’ enfin trouvé, Maurice Kamto et Franck Biya dans la tourmente
Selon les informations véhiculées depuis quelques heures sur les plateformes et réseaux sociaux de Boris Bertolt, les confidences d’un conseiller de Paul Biya laisse présager les couleurs de ce qu’il se passera aux prochaines élections présidentielles camerounaises. Dans une tribune, il demande à Franck Biya et Maurice Kamto de patienter encore pour leur tour. Lecture .
« Les partisans de Franck Biya doivent refouler leurs ardeurs. Car Paul Biya n’est pas prêt à partir. Il est d’ailleurs poussé par ses conseillers. Parmi eux, l’excellent politologue, Luc SINDJOUN, Conseiller Spécial à la présidence de la République. Il appelle clairement Paul Biya à une nouvelle candidature en 2025. Rappellons que Paul Biya à cette date aura 92 ans.
L’information est contenue dans un texte où il dément être l’auteur d’une publication qui lui est attribuée visiblement par erreur par le site Actu Cameroun. Ce texte qui est en réalité de Didier YIMKOA faisait plus tôt l’apologie d’une candidature de Franck Biya. Luc SINDJOUN non seulement précise qu’il ne peut pas écrire cela mais en plus précise que PAUL BIYA EST L’HOMME DE LA SITUATION.
« Faut-il rappeler que les 23 et 24 mars dernier à Baham, j’ai publiquement appelé, à l’instar de nombreux autres militants, à la candidature du Président Paul BIYA à la prochaine élection présidentielle en 2025 ? J’ai indiqué, de manière claire et distincte, que le Président Paul BIYA est et demeure L’HOMME DE LA SITUATION, qu’il est « La Force de l’expérience » au service des générations présentes et futures, pour le bonheur de tous et de chacun, pour l’émergence du Cameroun. Le 24 mars dernier à Baham, j’ai lancé le mot d’ordre : Tous pour et avec le Président Paul BIYA en 2025.» écrit le professeur des universités.
Maurice Kamto également originaire de BAHAM à l’Ouest Cameroun comme Luc SINDJOUN doit déjà savoir qu’en 2025 il n’aura pas que Biya à affronter. Pour certains 2025 est lointain pourtant nous y sommes déjà » écrit Boris Bertolt.
