‘On prenait la douche ensemble’ : Cynthia Fiangan parle de viol en prison voici les détails
Christelle Brigitte Biloa Atangana alias Cynthia Fiangan ou encore « chocolat de mer » est depuis plusieurs semaines une fille libre.
Elle a fait un tour à la prison pour des actes carrément punis par la loi camerounaise.
Elle n’est plus à présenter puisque c’est celle-là qui est rapidement devenue une starlette au pays et en Afrique avec ses vidéos sexuelles osées qu’elle n’hésitait pas à larguer sur la toile.
Christelle Brigitte Biloa Atangana a été ensuite arrêtée, amenée devant le procureur et enfermée.
Elle a été plus tard remise en liberté, avec des recommandations formulées par les autorités.
Depuis, elle est visiblement devenue une autre personne, abandonnant sa vie d’avant jugée malsaine et perverse. Qui a dit que la prison ne change pas l’Homme !
Dans de nouvelles vidéos publiées sur les réseaux sociaux, la jeune camerounaise essaie de montrer à tout le monde, à toutes les personnes qui l’ont critiquée, qu’elle n’est plus la même.
« A ma sortie de prison, j’ai décidé de prendre un nouveau départ », peut-on lire sur un compte Twitter qu’on lui attribue, dénommé @christelleatangana7.
C’est sur ce compte que Christelle Brigitte Biloa Atangana a publié une série de vidéos dans lesquelles elle narre son séjour en prison.
A un moment donné, on peut l’entendre raconter la fameuse histoire du viol qui s’était répandue lorsqu’elle était toujours en prison.
Christelle garantit qu’elle n’a jamais été violée parce qu’elle était sous une constante surveillance et qu’elle était bien traitée là-bas.
Surtout, souligne Atangana, elle montrait un grand respect aux personnes qui étaient là-bas avant elle.
Par conséquent, tout le monde la respectait en retour et essayait même de la conseiller afin de retrouver la bonne voie.
Seulement, depuis sa sortie de prison, l’ancienne condamnée peine à réussir dans le Centre privé de formation professionnelle des arts de la mode dans lequel elle a été inscrite.
Une photo de son bulletin montre que la jeune femme n’a eu que sept (07) de moyenne à l’école pour les cours de couture et de stylisme.
Les observations faites sont : « Manque de volonté et manque de concentration ».
