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Ni Xavi, ni Zidane, Gündogan dévoile son idole


Le milieu de terrain de Barcelone, Ilkay Gündogan, a nommé un joueur turco-allemand, qui a joué pour le Real Madrid, comme son idole. Gündogan exprime clairement sa volonté de devenir entraineur après avoir raccroché les crampons.

Ni Xavi, ni Zidane, Gündogan dévoile son idole

Ilkay Gundogan est le nouveau point central du jeu du FC Barcelone. L’ancien joueur de Manchester City s’est rapidement adapté à la Liga et au jeu du Barça. Il fait partie des joueurs clés de Xavi Hernandez. Né à Gelsenkirchen, le capitaine de l’équipe d’Allemagne a révélé, dans une interview au quotidien allemand Die Zeit, son idole d’enfance.

Gündogan dévoile ses deux idoles

Le milieu de terrain a zappé les meilleurs joueurs et a cité deux anciens joueurs du Schalke : « Enfant, j’étais fan de l’équipe nationale allemande, mais mes idoles étaient Hamit (qui a joué pour le Real Madrid entre 2011 et 2012) et Halil Altintop. Ils jouaient pour Schalke, et je n’étais pas un fan de Schalke. Mais, comme moi, ils sont nés et ont grandi à Gelsenkirchen et ont des parents turcs. C’est pourquoi je les vénérais plus que les autres« , déclare Gündogan lors de son interview.

Gündogan dévoile ses deux idoles

Gündogan se prononce sur le Barça

Gündogan n’a pas manqué de se prononcer sur les performances et la forme actuelle du club. Il estime que l’équipe a besoin de plus d’expérience mais fait aussi confiance aux joueurs de la masia :

« Sportivement, tout va bien, mais nous devons encore nous améliorer dans de nombreux domaines. C’est pour cela qu’ils m’ont recruté. L’entraîneur m’a dit de transmettre mon expérience. Même si cela ne fonctionne pas encore parfaitement à cause de la barrière de la langue, je peux apporter certaines choses à mes jeunes coéquipiers par mon seul comportement. Barcelone fait confiance aux joueurs de la Masia. Il y a aussi des étrangers comme moi, qui apportent de la stabilité. »

Gündogan poursuit en se prononçant sur les légendes qui ont quitté le club et il explique enfin pourquoi il a rejoint le Barça : « Le club a récemment perdu des personnalités comme Lionel Messi, qui ont marqué une époque. Le succès ne viendra pas du jour au lendemain, c’est un processus, toujours en coopération avec les fans, d’ailleurs. »

« C’est un tout nouveau défi. Après sept ans passés à Manchester City avec Pep, j’ai pensé qu’il était important de sortir de l’ombre. J’ai pensé qu’il était important de sortir à nouveau de ma zone de confort. Non seulement sur le plan footballistique, mais aussi sur le plan personnel. J’aime recommencer, même si cela peut être difficile.« 

En ce moment, le succès de l’équipe nationale d’Allemagne semble plus éloigné que jamais. En Allemagne, on parle beaucoup d’un manque d’identification de la part des supporters après les nombreuses déceptions de ces dernières années, et Gündogan a exhorté les fans des quadruples champions du monde à essayer de se voir dans leur équipe nationale.

interrogé sur la valeur ajoutée du football au-delà du sport, le Blaugrana a répondu : « Oui, lorsque l’équipe nationale devient un miroir de la société, lorsque les gens s’identifient à elle. Cela pourrait se produire beaucoup plus souvent. L’Allemagne est très multiculturelle. Bien sûr, cela comporte aussi des risques, cela ne fonctionne que si nous respectons la différence. Il en va de même pour une équipe, qui doit se sacrifier les uns pour les autres pour réussir. C’est pourquoi la confiance mentionnée ci-dessus est si importante.

Gündogan dévoile ses deux idoles

Enfin, Gündogan a précisé que son passage à Manchester City sous la direction de Pep Guardiola l’avait tellement marqué que son objectif pour l’avenir était de devenir entraineur : « il me fascine », a déclaré le milieu de terrain.

« Pep Guardiola a toujours réussi à mettre d’accord et à faire travailler jusqu’à 20 stars. Il convainc même ceux qui ne jouent pas de se donner à 100 % pour l’équipe. En fin de compte, c’est toujours l’entraîneur qui doit résoudre une situation difficile. Il est responsable du succès. C’est un travail difficile », conclut Gündogan dans son interview.





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