Le 1er novembre prochain, Isabelle Adjani sera de retour sur les écrans avec la fiction Voleuses réalisée par Mélanie Laurent. L’occasion pour l’actrice phare du septième art de se confier à nos confrères du Point, et de revenir sur sa relation compliquée avec son père.
Isabelle Adjani est bientôt de retour, et sur Netflix cette fois ! Après avoir été à l’affiche de la fiction Adieu Vinyle réalisée par Josée Dayan, l’actrice française est maintenant l’une des figures phares de la fiction Voleuses, réalisée par Mélanie Laurent sur Netflix. Pour l’occasion, la star, qui a récemment été accusée de fraude fiscale, s’est entretenue avec nos confrères du Point. Un échange pendant lequel elle s’est confiée sur son enfance, notamment sur sa relation avec son père.
Dans ce même entretien, Isabelle Adjani avait également évoqué son fils, l’ex-mannequin et acteur Gabriel-Kane, qui a décidé de partir vivre sa vie outre-Atlantique, aux États-Unis : « Mon plus jeune, Gabriel-Kane, a supprimé son compte Instagram. Il avait commencé le mannequinat, la chanson, il est passé à autre chose » avait-elle déclaré au Point avant d’ajouter : « Il a senti la lumière factice qui aveugle lorsque l’on s’expose aux yeux de tous. À présent, il est passionné de psychologie et il est enfin heureux aux États-Unis » a-t-elle conclu.
Mais si la star s’est confiée sur son fils, elle a également révélé à nos confrères qu’être actrice était contraire aux valeurs qui lui avaient été inculquées, notamment par son père : « J’ai longtemps eu le sentiment de trahir mon père, soit quand je m’exprimais sur ma personnalité, soit quand je me révélais physiquement sur une photo ou dans un film. Pour lui, Algérien d’origine et de culture puritaine, se dénuder ou embrasser un homme au cinéma confinait à la vulgarité. C’était inconcevable. » a-t-elle d’abord déclaré avant d’ajouter : « La séduction n’était pas de mise dans mon éducation, le culte du secret prédominait, j’ai été élevée en baissant les yeux. » a confié l’actrice de 68 ans.
Une enfance compliquée, marquée par la mésentente avec ses deux parents : « Le conflit intraparental m’a valu des années d’analyse et je viens d’ailleurs d’en reprendre une tranche. Mon père était très violent avec mon frère et avec moi, ayant lui-même subi des sévices dans son enfance en Algérie. Il était désespéré et tout était désespérant. Quant à ma mère, je ne m’entendais pas avec elle, ça se passait mal et puis, chez nous, on ne parlait pas. Il fallait que je sois solide » a-t-elle conclu. Des confidences touchantes.
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