Martinez Zogo tué : Rémy Ngono s’énerve et bombarde Boris Bertolt avec des révélations choc

C’est devenu une guerre entre deux (02) grands lanceurs d’alertes camerounais qui ont chacun une audience forte, surtout que l’affaire de l’assassinat du journaliste Martinez Zogo a éclaté. Boris Bertolt a attaqué, Rémy Ngono contre-attaque.

Il y a quelques jours, Boris Bertolt a écrit : « Rémy Ngono, si tu es un homme, cite mon nom dans tes fables d’Ali Baba et je vais démontrer que tu es le pire des corrompus. Et Dieu seul sait que je ne parle jamais pour rien.

Rémy Ngono, la récréation est terminée. Pendant des années c’est moi que tu appelais vendredi ou samedi pour que je te donne des biscuits sur tes directs. Parfois tu m’emmerdais tellement que je ne te prenais pas au téléphone.

Tu as pris le nom des enfants des gens récemment tu les as jetés à la vindicte populaire. Sans aucune preuve. Tu te prends pour qui. Si tu as donc les preuves de tes dires cites mon nom ouvertement. Prend tes responsabilités. Je vais te montrer que tu es un petit animateur qui passe son temps à compter le nombre de buts quand un joueur marque au goal.

NB : Rémy Ngono tu m’arrêtes tes bêtises très vite. Ceux qui t’envoient m’attaquer, j’ai refusé de travailler pour eux (je connais qui t’a recruté depuis des mois et bien avant le décès de Martinez et j’ai chassé cette personne avec son argent qui m’avait déplacé d’Utrecht en Hollande pour Paris). Tu es un enfant dans un jeu qui te dépasse.

Tu connais tout ce que je sais sur toi et tout ce que j’ai sur toi. Je ne vais pas parler comme un charlatan sans preuves comme toi pour semer gratuitement la haine. Je vais venir avec les preuves (objet, virement, dates, intermédiaires, comptes bancaires).

Ce n’est pas parce que tu aboies depuis des semaines comme un chien enragé que je ne peux pas réagir. J’ai cru un moment que tu aurais eu un peu de décence pour les bons moments que nous avons passés ensemble. Par respect pour l’amitié. Mais tu restes fidèle à l’oseille. Et tu dépenseras également cette oseille devant un tribunal ».

Il n’aura pas fallu assez de temps pour que le chroniqueur de Radio foot internationale sur la RFI sort les griffes. Sans avoir mentionné le nom de Boris Bertolt, il dézingue complètement.

« Je suis parti du Cameroun étant champion du micro et premier directeur de la RTS. Je suis arrivé en Europe où j’ai parcouru tous les grands clubs de radios et télévisions comme Cristiano Ronaldo.

J’ai laissé le brassard de capitaine à Martinez Zogo qui est devenu un buteur en série contre les clubs de tricheurs du Cameroun. Et l’équipe du tueur en série de FC Vision Mille Collines qui achète souvent les arbitres de la justice, a décidé de le tuer. Qu’importe ! Martinez Zogo est déjà connu du monde entier comme le Real Madrid.

Pendant ce temps, d’autres sorciers chassés du village sont partis du Cameroun en étant remplaçants à Serpent Club de Sangmélima. Incapables de trouver même un club de 20ème division pour faire les piges en Europe, ils évoluent dans Caméléon Facebook Club.

Leur rôle est d’aller dans les tribunes pour jeter la boue sur le maillot blanc de l’attaquant de pointe de la Maison Blanche Cristiano Ngonaldo. Qu’importe ! Je viens de remporter la Coupe du monde des clubs avec la Maison Blanche. Leur président de club est au sous-sol dans une cellule du SED. Justice pour Martinez Zogo », a répondu Rémy Ngono.