Marlène Jobert s’en mêle et évoque « son rapport au **** »

L’affaire Gérard Depardieu n’en finit plus de faire parler. Si les soutiens de l’acteur accusé de viol et d’agressions sexuelles se sont fendus d’une tribune pour dénoncer les débordements du tribunal populaire, ceux qui ont choisi de se dresser devant la légende, eux, s’expriment pour beaucoup spontanément sur les réseaux sociaux.

C’est notamment le cas de la comédienne oscarisée Marion Cotillard. Outrée par les positions du président de la République, « grand admirateur » de l’artiste, elle a commenté sous un post Instagram de FranceInfo : « Creuser un trou… et puis le creuser encore plus profond… et puis on ne sait pas jusqu’où ça ira… mais la France n’a pas besoin de ça, c’est certain. Ahurissant. »

Les langues se délient autour du cas Gérard Depardieu

Avant de fustiger sa partenaire à l’écran Victoria Abril et toute une génération de « Boomers de merde », Lucie Lucas, ancienne Clem de la série éponyme de TF1, s’est exprimée au sujet de l’émission qui a mis le feu aux poudres. « Hier soir Complément d’enquête, nous raconte Depardieu. Pas besoin de décrire en détails ce que nous y avons vu. Le simple portrait d’un homme à qui tout est permis. Un homme avide… Avide de privilèges et de pouvoir », a-t-elle écrit sur Instagram.

Sophie Marceau, 19 ans à l’époque de sa première collaboration avec l’éternel Cyrano, a de son côté choisi la voie de la presse pour faire part de son expérience malheureuse. « J’ai dit publiquement à l’époque que je ne supportais pas son attitude, grossière et très déplacée. Beaucoup de gens se sont alors retournés contre moi en me faisant passer pour la petite peste », a-t-elle pu confier dans les colonnes de Paris Match.

La rencontre entre Marlène Jobert et Gérard Depardieu

À l’instar de celle avec qui elle a régné sur le cinéma français des années 1980, Marlène Jobert a préféré se livrer à des journalistes. Jeudi 28 décembre, la mère d’Eva Green a pris la parole dans les pages du magazine Gala.

C’est en 1975, sur le tournage du film Pas si méchant que ça, que l’actrice a rencontré Gérard Depardieu. « À l’époque, jamais, il ne se serait permis le moindre écart de parole », a-t-elle commencé.

Marlène Jobert pic.twitter.com/iXzcy2n9OE

— Quentin N. 🦁🎅🎄 (@Quentin75776109) December 23, 2023

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Contrairement à l’héroïne de La Boum, Marlène Jorbert n’aurait pas souffert de quelconques comportements malvenus. « Je n’ai eu aucun problème de ce côté-là. On me faisait la cour, mais ou ça m’intéressait ou bien ça ne m’intéressait pas », a-t-elle affirmé.

« Il y a quelque chose dans son rapport au **** qui a pris une tournure pathologique, il faut le considérer comme un malade. Il y en a qui sont atteints par la maladie d’Alzheimer, lui est devenu cet homme dont le discours ne va pas », a-t-elle poursuivi. Avant d’adresser un message aux victimes présumées de l’homme : « Évidemment, je tiens à dire tout le respect que je porte aux victimes. »