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malgré son succès incontestable, cette série dramatique ne convainc pas les abonnés


Les histoires les plus sombres passionnent le public, en particulier lorsqu’elles sont inspirées de faits réels. Seulement, son enthousiasme sans bornes les dépasse parfois. La sortie sur Netflix de la série Mon petit renne a ainsi mené à l’ouverture d’une enquête pour diffamation contre des fans persuadés d’avoir découvert la véritable identité de Martha la stalkeuse.

L’un des protagonistes de L’affaire Asunta fait en ce moment lui aussi beaucoup parler de lui. Disponible sur Netflix ce 26 avril 2024, cette mini-série de six épisodes raconte l’un des meurtres les plus atroces survenus en Espagne. Bien que numéro 2 du top de la plateforme au N rouge, elle divise les férus du genre true crime.

L’affaire Asunta, la vraie histoire derrière la série Netflix qui dérange

La production espagnole signée Ramón Campos, Gema R. Neira, Jon de la Cuesta et David Orea Arribas raconte les événements ayant suivi et précédé le meurtre d’une fillette issue des plus hautes couches de la société. Le père (Tristán Ulloa, vu dans la saison 3 de Narcos et dans Berlin, le spin-off de la Casa de Papel) et la mère (Candela Peña vue dans la série Hierro diffusée sur Arte), sont les principaux suspects dans cet assassinat.

Dans la réalité, Asunta était une petite fille chinoise âgée de douze ans, retrouvée morte en 2013, au bord d’une route, près de Saint-Jacques-de-Compostelle. Alfonso Basterra, son père adoptif, occupait un poste de consul et Rosario Porto Ortega, sa mère, était journaliste. Au terme de l’enquête, ils ont été condamnés chacun à 18 ans de réclusion criminelle pour avoir drogué leur enfant avant de l’étrangler avec une corde.


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« Ma véritable condamnation n’est pas la prison, mais de ne pas l’avoir secourue lorsqu’elle avait le plus besoin de moi », poursuit-il. Avant d’évoquer sa sortie de prison prévue pour 2031 : « Lorsque je retrouverai ma liberté, j’ai la ferme intention de disparaître, personne n’aura plus de mes nouvelles (…) Je n’ai qu’une seule raison de rester en vie, qui n’est autre que de redevenir un homme libre ».





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