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Laura Smet dévoile son plus gros complexe qu’elle a hérité de son père, Johnny Hallyday : “J’apprends à vivre avec”


« Je n’ai pas d’actualité immédiate, car je me concentre sur la préparation de mon film », explique la comédienne et réalisatrice dans les colonnes de Madame Figaro dont elle fait cette semaine la couverture. La main dans les cheveux, Laura Smet plonge dans les nôtres, des yeux dont le bleu pénétrant nous saisirait presque sur ce cliché en noir et blanc.

À la faveur de cet entretien, la fille aînée de Johnny Hallyday a notamment bien voulu évoquer un sujet houleux dans le métier : la chirurgie esthétique. « Quand dans mon casting, je repère des gamines de 18 ans déjà, refaites, cela me désole. Ce n’est pas que c’est moche, c’est qu’elles font dix fois plus âgées. Quel dommage », a-t-elle déploré.

Un petit peu de la Laura Smet d’avant

Avant de poursuivre : « Quand on a la chance de vivre avec quelqu’un qui vous regarde avec amour, que vous êtes la plus belle dans les yeux de votre enfant, que vous êtes apaisée, cela se voit sur le visage. Les traits se détendent naturellement ». Si celle qui fêtera sont 40ᵉ anniversaire le 15 novembre prochain n’a pas succombé à l’appel de la fée bistouri, elle semble avoir encore en elle un peu de la Laura fragile de son adolescence.

« Je sais qu’on ne se voit jamais tel qu’on est, mais j’ai des complexes », a déclaré la petite sœur de David Hallyday. Bien qu’apparemment pas toujours à l’aise avec elle-même, la jeune femme accepte toujours volontiers de donner de sa personne devant l’objectif, car elle voit dans cet exercice la concrétisation d’un « rêve de gosse ».

C’est une péninsule ?

Du reste, difficile de trouver à Laura Smet un quelconque défaut qui nous sauterait aux yeux. Néanmoins, la maman de Léo (le deuxième prénom de son père, NDLR), trois ans, trouve bien quelque chose de disgracieux sur sa jolie figure.

Nous sommes loin de la péninsule, et pourtant, l’appendice hérité de son paternel dérange l’actrice. « Je n’aime pas mon nez, par exemple”, a-t-elle expliqué. La trentenaire a ensuite précisé : « Avec le temps, j’apprends à vivre avec ».

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Quand la comédienne se sent forte

Professionnelle avant tout, Laura Smet oublie complètement ces petites considérations quand, comme le fait également si bien sa maman Nathalie Baye, elle entre dans un nouveau personnage. « Quand je suis bien maquillée, bien éclairée et bien dans un vêtement, je me sens vraiment forte », a-t-elle confié.

Si la magie du maquillage l’aide grandement à s’approprier les histoires des autres, l’habit lui permet de la même façon de s’oublier un temps. La comédienne a ainsi ajouté : « Comme un costume de film. Si j’arrivais avec mes propres habits sur un tournage, je ne serais pas sûre de pouvoir me glisser dans la peau du personnage ».





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