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la réaction surprenante de Lunin sur le but fantôme qui va pas plaire !


Le portier du Real Madrid, Lunin, a réagi par un « pas pour moi » quand on lui a questionné si le ballon avait franchi la ligne de son but lors du Clasico.

Lunin a joué un rôle central lors du Clásico de dimanche dernier au Bernabéu. Le gardien, qui n’avait pas brillé lors des rencontres précédentes, s’est retrouvé au cœur de la polémique du match à cause d’un but fantôme. Ni l’arbitre ni la VAR n’ont reconnu comme valide le but marqué par Lamine Yamal suite à un corner.

la réaction surprenante de Lunin sur le but fantôme qui va pas plaire

Ce matin, Lunin s’est entraîné à Valdebebas avec le reste de l’équipe. À sa sortie de la Ciudad Real Madrid, il a pris le temps de signer des autographes pour les fans. C’est à ce moment qu’on l’a questionné au sujet du controversé but fantôme.

Durant l’émission Jugones sur La Sexta, on a demandé à Lunin si le ballon avait complètement franchi la ligne de son but. Sa réponse a été sans équivoque : « Pour moi, non ». Cette réponse, toutefois, n’a étonné personne.

« La caméra ne marchait pas »

Sans surprise, le dernier Clasico continue de susciter de vives réactions en Espagne. Dimanche soir, sur la pelouse du stade Santiago-Bernabéu, le Real Madrid l’a emporté (3-2) face au FC Barcelone. Cependant, depuis le coup de sifflet final, les Catalans crient au scandale, affirmant qu’un but aurait dû être validé pour Lamine Yamal. En effet, selon eux, sur un tir du jeune talent blaugrana, le ballon repoussé par Andriy Lunin aurait franchi la ligne. Toutefois, l’arbitrage espagnol, privé de la technologie de la ligne de but, a conclu que le ballon n’avait pas entièrement pénétré dans les cages.

« La caméra ne marchait pas »

La Cadena COPE a même obtenu les échanges audios entre l’arbitre et l’assistance vidéo à ce sujet litigieux pour les Culés. « Nous n’avons aucune preuve de la validité du but, reprenez avec un corner », a-t-il été indiqué à l’arbitre. Cependant, cette réponse ne suffit pas à apaiser le FC Barcelone, qui envisage sérieusement de demander la reprise du match, comme l’a annoncé Joan Laporta dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.

« Si, à l’issue de l’analyse de ces documents, le Club constate une erreur d’appréciation de l’action, il entreprendra toutes les démarches nécessaires pour rétablir la vérité, y compris la possibilité de demander la reprise du match si le but était effectivement valable », avait expliqué le président catalan. Par ailleurs, selon la RAC1, le FC Barcelone a déjà décidé de recourir à la justice ordinaire afin que le but fantôme de Lamine Yamal soit validé. Joan Laporta a clairement annoncé qu’ils iraient jusqu’au bout pour obtenir justice pour ce but qui, à leurs yeux, aurait dû être inscrit au tableau d’affichage.

Une caméra ne marchait pas lors du Clasico

Et une nouvelle révélation concernant cette confrontation entre les deux rivaux emblématiques secoue encore l’Espagne ce mercredi. En effet, parmi toutes les caméras opérationnelles et déployées pour ce grand rendez-vous du football espagnol, l’une des plus cruciales ne fonctionnait pas lors de l’action de Lamine Yamal. La couverture télévisée de Mediapro et de LaLiga pour le Clásico de dimanche dernier disposait au total de 36 caméras.

Une caméra ne marchait pas lors du Clasico

 Cependant, la caméra aérienne positionnée au-dessus de la ligne de but du gardien ukrainien du Real Madrid, Andriy Lunin, pour obtenir une vue informatisée via la technologie d’œil de faucon, n’a été enregistrée que depuis la caméra située au coin du terrain, et non depuis le coin opposé, comme cela aurait dû être le cas pour capturer Lunin de face. Ainsi, cette caméra d’une importance capitale ne fonctionnait tout simplement pas. C’est ce qu’a expliqué Jordi Basté, un journaliste espagnol très réputé, ce mardi dans l’émission « El Món » sur les ondes de la radio catalane RAC1.

De ce fait, bien que d’autres images prises sous des angles plus larges laissent penser que le ballon tiré par Lamine Yamal était entré, l’arbitre vidéo, José María Sánchez Martínez, a informé l’arbitre principal, César Soto Grado, qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour déterminer si le but devait être accordé ou non au Barça. Plusieurs jours après le match, la lutte se poursuit entre les différentes institutions pour que justice soit rendue.  



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