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Karine Le Marchand pousse un violent coup de gueule sur l’attitude des agriculteurs, « J’en ai marre »


Le cru 2023 n’a pas été le meilleur que L’amour est dans le pré ait offert au public de M6. En effet, Karine Le Marchand l’a elle-même déploré, les cœurs à prendre ne jouent pas toujours franc-jeu avec la production.

Baptiste de cette saison 18 de toutes les catastrophes avait notamment particulièrement déçu l’animatrice. Et pour cause, la confidente des agriculteurs, aguerrie en amour, avait vu d’un très mauvais œil que l’éleveur de brebis retombe dans les bras d’une ex avant même le début des speed dating. « Le fait de passer à la télé rend très attractif pour leurs ex », avait-elle à ce moment-là commenté, plus que sceptique quant aux réelles motivations de cette ancienne compagne.

Quand les candidats de L’amour est dans le pré font faux bond à l’émission

Le lundi 8 janvier 2024, les premiers portraits de la saison 19 de L’Amour est dans le pré ont été diffusés sur la Six. Cette fois-ci, pour les équipes, il a été hors de question de donner de la visibilité à des célibataires susceptibles de faiblir face aux fantômes de leur passé ou à une candidature spontanée hors circuit. D’ailleurs, le candidat le plus à risque a été prévenu.

Le beau-gosse de la nouvelle édition du programme de dating, c’est Brice, un trentenaire aux yeux couleur océan originaire de Nouvelle-Aquitaine qui produit du sel au sein de ses marais. Sportif de surcroît, cet ancien professeur de tennis, surfeur à ses heures perdues, va être surveillé de très près par Karine Le Marchand.

Karine Le Marchand met en garde le célibataire à risque de cette saison 19 de L’amour est dans le pré

« On est d’accord que Brice, saunier [producteur de sel, ndlr], c’est facile à trouver sur les réseaux sociaux. Donc tu ne réponds pas [si on te contacte] », l’a-t-elle sermonné lors de cette première rencontre.

La meilleure amie de Stéphane Plaza est ensuite revenue sur les déceptions passées. « Moi, j’en ai marre de faire chaque année des portraits de gens qui, tout d’un coup, nous disent : ‘Aaaah, finalement, j’ai une ex qui m’a rappelé’ ou bien ‘J’ai quelqu’un qui est venu directement à la ferme’ », a-t-elle ajouté, intransigeante.

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La production de L’amour est dans le pré a tiré les leçons des précédents échecs

À en croire le principal intéressé, la production n’aurait aucun souci à se faire le concernant. « Je me suis tellement planté, moi, tout seul dans mes choix que, si je m’adresse à cette émission-là, c’est justement pour vous suivre, promettra-t-il ainsi. Je ne crois pas qu’il y aura d’émeutes féminines à l’entrée de mon marais », a-t-il assuré.

D’autre part, voir des soupirantes tenir un siège devant une exploitation n’est pas la seule chose qui inquiète les équipes de L’amour est dans le pré. Refroidie par le cas Justine, la productrice artistique du programme, Gabriella Mermet-Mather, a annoncé que ces dernières se montreraient davantage vigilantes quant aux profils sélectionnés. « L’équipe du casting a appris à repérer les lettres moins sincères. Nous allons compléter le questionnaire remis aux prétendants et prétendantes en passant plus de temps sur la partie professionnelle pour voir s’ils ont une situation stable, des projets, et éviter des emménagements précoces comme celui de Justine », a-t-elle récemment signifié dans un entretien accordé à Télé Poche.





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