jugée « inculte », l’acheteuse Marie du Sordet révolte les téléspectateurs, « pathétique… »
L’acheteuse Marie du Sordet est arrivée dans l’émission Affaire conclue en 2019. Comme le rapporte Actu.fr, elle s’est fait connaître grâce à son site internet. Elle est aussi connue pour avoir installé son activité dans l’Orne, loin de Paris. « Nous sommes arrivés en 2011, à Nocé d’abord. Avec Jacques, mon mari, nous adorons l’immobilier et nous avons eu un vrai coup de cœur pour une maison en ruine », avait-elle déjà partagé.
Cette décoratrice et brocanteuse, désormais connue pour sa participation dans Affaire conclue, n’a toutefois pas fait le bonheur des téléspectateurs. Récemment, l’une de ses interventions dans l’émission présentée par Julia Vignali a plutôt mal tourné. Et les internautes ont fini par s’en prendre à elle sur les réseaux sociaux.
L’acheteuse de l’émission Affaire conclue Marie du Sordet agace les internautes
Vendredi dernier, Julia Vignali et les acheteurs d’Affaire conclue ont reçu deux nouveaux vendeurs. L’un d’entre eux est venu avec un brûle-encens venu tout droit d’Indochine. Et un autre a apporté un tableau, lequel s’inspire de la célèbre peinture L’Assomption de la Vierge de Nicolas Poussin.
Ces deux objets, plutôt insolites, ont attiré l’attention des acheteurs présents ce jour-là – François Cases Bardina, Johan Ledoux, Caroline Margeridon, Marie du Sordet et Stéphane Vanhandenhoven. La première vendeuse, Vivianne, a alors présenté son brûle-encens en salle des ventes. Et c’est à ce moment-là que Marie du Sordet a lâché une bourde en plein direct dans Affaire conclue.
Une méconnaissance qui n’a pas manqué de faire réagir les internautes
Harold Hessel, avant que l’objet ne soit apporté en salle des ventes, a estimé le brûle encens à hauteur de 300 euros. Ce qui représente déjà une belle somme. Sauf que tous les acheteurs ne savaient visiblement à quoi cet objet pouvait bien servir. « Comment on l’utilise en vrai ? Mais pour moi l’encens, c’est des bâtons ! », a déclaré Marie du Sordet. « Pauvre Marie, elle est pathétique tellement elle est inculte », a réagi une internaute, étonné par la remarque de l’acheteuse.
Cette première remarque a manifestement surpris certains téléspectateurs. L’acheteuse n’a apparemment pas une fine connaissance du continent asiatique. Marie du Sordet s’est enfoncée davantage lors de la présentation du deuxième objet, le tableau inspiré des œuvres de Nicolas Poussin. Mais cette fois-ci, c’en était trop pour certains internautes. « Marie elle le fait exprès d’être cruche pas possible », a, par exemple, fait remarquer un téléspectateur.
Boutique, showroom, site internet, lieu gourmand… L’experte d’#AffaireConclue Marie du Sordet a parié il y a quelques années sur #Bellême pour développer son activité ⤵️https://t.co/GnABtmI2In via @actufr
— Mathilde Simoën (@MathildeSimoen) April 10, 2023
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Une remarque qui ne passe pas sur le plateau de l’émission Affaire conclue
« Vous venez nous voir avec une jolie icône : d’où vous provient-elle ? », a demandé, innocemment, Marie du Sordet au vendeur du tableau. « Alors c’est un tableau religieux, chère madame, pas une icône », a expliqué le propriétaire du tableau. « Alors pourquoi ? », lui a lancé Marie du Sordet. « Parce que c’est sur toile et ce n’est pas forcément une icône… », a-t-il répondu. « Une icône… deuxième objet, deuxième ânerie », a alors commenté un internaute à propos de cette discussion.
Un moment de gêne a suivi cet échange. Pour la seconde fois de la soirée, Marie du Sordet a montré qu’elle n’était pas experte sur toutes les antiquités présentées dans Affaire conclue. Nécessairement, la situation n’a pas manqué d’être remarquée par certains téléspectateurs, dont les commentaires n’ont pas été tendres sur X.
