JO 2024 : Emmanuel Macron interrompt son discours et demande l’intervention des pompiers (ZAPTV)

Ce mardi 23 janvier, Emmanuel Macron a souhaité ses « voeux olympiques » depuis l’Institut national du sport et de l’expertise de la haute performance (Insep). Son discours a toutefois été interrompu par un homme qui a fait un léger malaise.

C’est une année pleine de challenges qui attend la ville de Paris. Dans quelques mois, la capitale française accueillera les Jeux Olympiques 2024, lesquels auront lieu du 26 juillet au 11 août prochains. C’est dans ce contexte que le président Emmanuel Macron s’est rendu ce mardi 23 janvier à l’Institut national du sport et de l’expertise de la haute performance (Insep), à Vincennes, afin de présenter ses « vœux olympiques ». Face à une foule de journalistes, le chef de l’Etat de 46 ans a rappelé sa volonté de voir la France terminer dans le top 5 du classement des médailles.

Cet objectif est selon le mari de Brigitte Macron « plus que jamais atteignable » grâce à la structuration du sport français ces dernières années. Le président et proche collaborateur de Gabriel Attal en a d’ailleurs profité pour détailler les stratégies mises en place par la France afin de favoriser les hautes performances, comme la création de l’Agence nationale du sport (ANS) en 2019. Le successeur de François Hollande a toutefois eu bien du mal à s’exprimer sereinement puisque son discours a été interrompu à plusieurs reprises, notamment par une personne dans la foule ayant fait un malaise.

Emmanuel Macron demande l’intervention des pompiers

La scène a eu lieu peu avant 17 heures, alors qu’Emmanuel Macron évoquait l’implication des collectivités dans les Jeux Olympiques. Le président s’est soudainement interrompu, se tournant vers sa droite, où un homme venait de faire un malaise. « Il faut mettre une chaise. C’est normal, ça arrive. Ca va aller », a-t-il demandé. L’état de l’homme en question ne semblait pas alarmant mais le natif d’Amiens a préféré ne prendre aucun risque en demandant l’intervention des secours.

« Si il y a des pompiers de service ou un service médical… Parce qu’il ne faut pas rester debout après ça« , a finalement demandé le fondateur du parti En Marche, non sans glisser un tacle au passage : « Vous vous avez pris les devants, je constate que les plus jeunes eux, sont déjà assis…« . Subtil mais tranchant.