« Je les ferais changer d’école »
Ancienne vedette de la télé-réalité, Cindy Lopes est reconnue pour son audace et sa franchise. Dans une interview récente, elle a partagé une déclaration surprenante concernant l’éducation de ses enfants. Elle insiste pour que les enseignants de ses enfants ne soient pas des hommes, affirmant qu’elle est prête à changer leurs établissements scolaires si nécessaire.
Cindy Lopes s’est fait connaître lors de la troisième saison de Secret Story. Cette blonde voluptueuse a été une figure marquante de l’émission animée par Benjamin Castaldi. Connue pour ses positions fermes et son attitude provocante, elle n’a jamais hésité à exprimer ses opinions tranchées tout en valorisant sa sensualité.
Cette maman « interdit catégoriquement que ses enfants soient gérés par des hommes »
La jeune femme a plutôt réussi à gérer sa notoriété soudaine. Livres, one-woman-show et dernièrement, elle a lancé son compte sur la plateforme MYM qui diffuse du contenu érotique. C’est à cette occasion qu’elle s’est confiée au youtubeur Sam Zirah lors d’un entretien.
Lorsque le jeune homme l’a interrogée sur l’éducation de ses enfants, la jeune femme a expliqué : « J’interdis catégoriquement que mes enfants soient gérés par des hommes, en termes de professeurs. » Elle a avoué que si pareil cas devait survenir, elle les ferait « changer de classe, d’école ou déménager. »
Cindy Lopes pointe du doigt l’Education Nationale
La déclaration parait surprenante. La maman s’est justifiée en précisant : « Quand un professeur est grillé en tant que pédophile, il n’est pas exclu de l’Éducation Nationale, mais il est muté. » Son interlocuteur a alors cherché à en savoir plus et lui a demandé si elle n’avait pas été victime d’abus dans sa jeunesse.
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« Il y a quelques soucis en France »
La mère de famille a assuré que non, et ses inquiétudes ont une tout autre origine. « J’ai été en contact avec des gens qui étaient journalistes dans d’autres domaines, et qui ont fait des enquêtes sur ce milieu-là. Et je me suis rendue compte que c’était un milieu qui était très… On est dans un pays particulier. (…) il y a quelques soucis en France. »
Pour Cindy Lopes, la France a encore des progrès à faire en la matière et des prédateurs sexuels sont en poste dans les écoles de l’hexagone. Au contraire d’autres pays européens, comme elle l’a expliqué : « Vu que la France n’a pas encore été épinglée, que l’Angleterre l’a été, que la Belgique l’a été, et que la France est encore libre à ce niveau là, ça me laisse à penser qu’il faut faire attention à nos enfants”. Des propos qui n’ont pas fini de faire couler de l’encre…