à la uneCamerounCultureSociété

Ignominie : étudiante à Soa elle accepte les avances d’un Blanc dont le fils de 07 ans la gère voici les détails

C’est un troublant témoignage qui vient directement de Simone, une Camerounaise âgée de vingt-six (26) ans. Elle a accepté les avances d’un homme blanc qui lui a proposé de venir s’installer avec lui et ses fils en Europe. Chose que Simone a acceptée. La suite ne se passe pas bien pour elle.

« Je suis à huit (08) mois de concubinage avec un homme ici en France qui a cinq (05) enfants. Son dernier fils qui a sept (07) ans avait l’habitude de m’offenser en insultant ma couleur de peau. J’ai fait part de ça à mon homme il l’a banalisé, il dit que son fils est naïf et que je ne devais pas le prendre au sérieux.

À un moment ça commençait sérieusement à m’énerver. Un matin je faisais la vaisselle, ce petit sorcier de sept (07) ans vient ouvrir le frigo et me dit « madame la noire il n’y a plus de lait », je ne me suis pas retenu de lui donner une bonne gifle et je l’ai balancé hors de la cuisine.

Ses frères sont aussitôt venus se jeter sur moi pour me cogner, je n’ai pas pu m’en sortir car l’un d’eux m’a dosée la tête avec la poêle, puis ils m’ont abandonnée par terre dans la cuisine où je pleurais de douleur.

Quand leur père est rentré du sport il a eu vent des faits, il m’a recadré devant ses enfants et m’a interdit de porter la main sur eux. Il m’a aussi dit que je devais présenter une lettre d’excuse à son idiot de fils de sept (07) ans, auquel cas il se verrait obligé de rompre avec moi.

J’ai repensé à toutes ces années de souffrance à Yaoundé d’où je viens, je sais aussi que le quotidien de la plupart des femmes qui viennent vivre ici en Europe n’est pas facile, même si elles le prennent sur elles sans toutefois l’exposer.

J’ai fait la lettre d’excuse et depuis ce temps, je suis devenue comme la ménagère de la maison, obligée de forcer le rire avec ses bâtards pour faire bonne impression, j’ai même déjà accepté mon surnom que ce petit connard m’a donné, quand il m’appelle madame la noire je réponds avec tout le sourire du monde.

L’Europe c’est difficile. La porte qui est juste en face de la mienne c’est où vit une Ivoirienne avec son blanc, il y a bagarre chez-elle tout le temps. Des cries fréquents qui font mal au cœur. J’ai connu ce Blanc il y a deux (02) ans quand sa femme vivait encore, on échangeait via Messenger j’étais dans ma chambre d’étudiante à Soa (Centre Cameroun).

J’avais un gars qui travaillait à Ecobank et dont j’avais escroqué des ronds avant de partir, pourtant il m’aimait et avait des projets pour nous, j’ai eu les longs yeux et aujourd’hui je paye le prix. À toutes mes sœurs à qui le Blanc miroite la belle via les réseaux sociaux ceci vous concerne », c’est une histoire triste qui doit servir de leçon.

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp