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Emmanuel Macron pose avec le cadeau offert par Javier Milei : cette photo condamnée par la gauche



L’Argentine vient d’élire son nouveau chef d’État, l’ultralibéral Javier Milei. Accusé d’être d’extrême-droite, le nouveau président argentin a offert à Emmanuel Macron un maillot de l’équipe de Boca Juniors. Un cadeau qui a rapidement fait réagir la gauche sur les réseaux sociaux.

Fraîchement élu nouveau président d’Argentine, Javier Milei a choisi d’envoyer des cadeaux à ses homologues. Emmanuel Macron n’a pas échappé à cette règle et a reçu le maillot de Boca Juniors, l’une des plus grandes équipes de football du pays. Le club de la capitale argentine fait d’ailleurs partie des équipes ayant reçu le plus de titres internationaux dans l’histoire du football. La tunique était accompagnée d’un message : « Vive la liberté, bordel ! ». Le président de la République française a posé, le pouce en l’air, avec ce maillot. Une image qui a ravi le nouveau dirigeant argentin qui a posté le cliché sur les réseaux sociaux. Une photo qui n’a pas manqué de faire réagir ses opposants qui accusent le chef d’État de faire la promotion de l’extrême droite.

La gauche monte au créneau

Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, a été l’un des premiers à réagir en écrivant : « Emmanuel Macron en agent publicitaire du populiste ultralibéral Javier Milei… ». Le député français a rapidement été suivi par d’autres figures de la gauche. Boris Vallaud, député socialiste des Landes, affirme que ce cliché résume « la politique diplomatique d’Emmanuel Macron en une image ». Jean-Luc Mélenchon n’a pas hésité à réagir sur X, reprenant l’expression de Javier Milei : « Encore un bon pote pour la France carajo ! (bordel) ».

Thomas Portes, député LFI de Seine-Saint-Denis, se désole quant à lui qu’Emmanuel Macron n’ait « pas eu mot pour Federico Martin Aramburu, joueur de rugby argentin, assassiné par des militants d’extrême-droite à Paris » mais qu’il choisisse de poser avec un « maillot de Boca Juniors signé par le président d’extrême-droite argentin ». Thomas Portes décrit même le président de la République comme le « marchepied de l’extrême-droite« . Déjà sous les feux des critiques après avoir célébré la fête religieuse Hanouka à l’Élysée, Emmanuel Macron continue de faire parler dans la sphère politique.





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