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Elle demande le remboursement de son plat pour une raison écœurante, mais les images de surveillance révèlent une tout autre vérité


Il se pourrait bien qu’Halloween ne se soit pas encore effacé devant la féérie de Noël, comme en témoignent certaines trouvailles peu appétissantes dans les restaurants. Un phénomène inattendu est notamment devenu viral ces derniers mois sur les réseaux sociaux. Au Japon, dans plusieurs restaurants dans lesquels les produits défilent, des jeunes se sont filmés en train de réaliser des actes répugnants.

Un étudiant a décidé de se filmer en train de lécher une bouteille de sauce soja et de la remettre ensuite sur le tapis roulant. Quelques instants plus tard, il réitère en léchant son doigt et en touchant un sushi qui circule sur le même tapis roulant. Résultat ? Il a écopé d’une amende de 450 000 euros, ainsi que l’a rapporté Metro.

Une découverte peu ragoutante dans son plat

La gravité de ce phénomène est sérieusement prise en considération au Japon. Plusieurs jeunes adultes ont été identifiés et appréhendés. Afin de contrecarrer la tendance et d’empêcher que cela ne devienne une mode plus répandue, cette chaîne de restauration japonaise a décidé de prendre des mesures drastiques en distribuant des amendes aux montants élevés.

L’enjeu s’avère également financier. L’enseigne a affirmé qu’après la diffusion de la vidéo sur les réseaux sociaux, certains clients avaient cessé de fréquenter l’établissement. Elle a estimé que cet acte avait entraîné une chute des actions de l’entreprise en bourse, engendrant une perte de plus de 100 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Un propriétaire de restaurant choqué par la combine

D’autres clients vont même encore plus loin. Cette conclusion, Tom Croft, propriétaire du pub The Observatory à Blackburn, en Angleterre, l’a récemment apprise à ses dépens, ainsi que l’a rapporté Sud Info. Une cliente, mécontente de son rôti de bœuf, a réclamé un remboursement, alléguant la présence de cheveux dans son plat. Une situation peu hygiénique, mais la vidéo de surveillance a révélé un scénario inattendu.

La jeune avait délibérément arraché ses propres cheveux pour les placer dans son assiette. Le propriétaire de l’établissement s’est dit « dégouté ». Il a indiqué regretter que « des gens veuillent mettre en péril la réputation d’une entreprise et en danger des emplois juste pour un repas à 15 euros ».

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Une sensibilisation opérée par les restaurateurs

« On aurait pu s’en prendre aux cuisiniers, alors qu’ils n’avaient absolument rien fait », a déploré le propriétaire au Banbury Guardian. Et de poursuivre : « Si on n’avait pas eu cette caméra, ça aurait été un véritable problème pour notre réputation. Les gens ne veulent pas manger dans un restaurant dans lequel on trouve des cheveux dans les assiettes ».

En 2017, cette combine avait déjà mis en péril la réputation d’un restaurant situé à Brisbane, en Australie. La scène avait, là aussi, été immortalisée par les caméras de surveillance. L’objectif des restaurateurs ? Sensibiliser leurs collègues sur ces pratiques en prenant la parole et en affichant les actes répréhensibles de ces clients malveillants.





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