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Dernière minute : l’organisation de la CAN serait en train d’échapper à la Côte d’Ivoire

C’est fait, on connait désormais les vingt-quatre (24) nations qualifiées pour la Coupe d’Afrique des nations (CAN TotalEnergies 2023). La Confédération africaine de football (CAF) a déjà désigné la Côte d’Ivoire comme pays hôte de la compétition. Mais un gros doute commencerait par naître.

C’est ce qu’indique le journaliste Rémy Ngono sur ses pages sociales. C’est une grosse bombe qu’il vient de lancer au lendemain de la victoire des Lions indomptables contre les Burundais et au milieu de tous les bruits qui font voir que le Cameroun serait prêt à accueillir la CAN, ou disons plutôt à l’arracher au nez et à la barbe des voisins ivoiriens.

« Danger ! Danger ! Danger ! La Coupe d’Afrique des nations en Côte d’Ivoire menacée : la CAF en colère cherche le plan B », écrit Rémy Ngono. Le consultant de la RFI n’a pas donné ses sources, ni de détails supplémentaires mais on est en droit de penser que cette information – s’il est vérifiée – fait suite à l’état des terrains de la Côte d’Ivoire.

Rémy Ngono donne rendez-vous aux internautes pour mieux entrer dans le fond du sujet sur ses pages Facebook et sa chaîne YouTube. Beaucoup de personnes sont déjà impatientes de savoir ce qu’il a à dire et espèrent que ce ne soit pas du fake.

D’autres sujets vont meubler le direct de Rémy Ngono comme « Narcisse Mouelle Kombi fête sa victoire sur Samuel Eto’o Fils » ; « Ali Bongo supplie le général Oligui Nguema d’être nommé ministre » ; « Brenda Biya cherche à acheter un homme pour l’épouser ».

S’agissant de l’état des pelouses de la Côte d’Ivoire qui va accueillir la CAN en janvier prochain, même le sélectionneur de leur équipe nationale s’est plaint.

Le stade Alassane Ouattara inquiète Jean-Louis Gasset qui a abordé le sujet après l’inondation survenue lors du match contre les Aigles du Mali : « Au niveau du terrain, on a connu à Bouaké un orage avant de s’entrainer à tel point qu’on pensait ne pas pouvoir le faire tellement qu’il y avait de l’eau. Et une demi-heure après, le terrain était de nouveau praticable parce qu’il avait été bien drainé ».

Mais « pour cette pelouse d’Ebimpé, l’eau n’est pas absorbée, et quand on sait qu’on risque de jouer des matchs capitaux dans ce beau stade, il y a une réflexion à avoir », a-t-il lâché à la presse.

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