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Demande de brevets: la Suisse en tête du classement par habitants


Le 3×3 masculin helvétique est à la croisée des chemins. Admise dans deux Tournois de Qualification Olympique, l’équipe de Suisse doit concrétiser son rêve.

La concurrence se fait de plus en plus grande, et la génération de la star suisse de la discipline Westher Molteni (36 ans) est plutôt en fin de cycle.

« Les JO, c’est notre voeu, c’est notre souhait. C’est un rêve qui est devenu un objectif. Avec ces entraînements spécifiques, c’est vraiment du concret », explique Domenico Marcario, responsable du 3×3 à Swiss Basketball, qui a ouvert ses portes à Keystone-ATS à l’occasion de l’un des quelque 30 entraînements spécifiques programmés à Lausanne dans l’optique de ces TQO.

« On a mis quelque chose en place, il y a une feuille de route, il y a un plan d’action et nous avons deux opportunités de nous qualifier pour les Jeux de Paris », poursuit le Québécois, conscient que le premier TQO (12-14 avril à Hong Kong) sera plus difficile à négocier que le troisième et dernier (16-19 mai à Debrecen).

D’une part, un seul ticket pour Paris sera attribué à Hong Kong, où huit équipes seront engagées et où la Suisse figurera dans un groupe très relevé avec les Pays-Bas et l’Autriche en favoris. D’autre part, si les membres de la Team Lausanne de 3×3 sont bien présents à Beaulieu pour cette première phase de préparation, ce n’est pas le cas des joueurs engagés avec Fribourg Olympic en basket « classique ».

Natan Jurkovitz et Jonathan Kazadi étaient bien là lors du rassemblement en février. Mais pas Arnaud Cotture, qui a décliné cette convocation. Tous trois ne rentrent de toute manière pas en compte pour le TQO de Hong Kong, qui débutera six jours après la finale de Coupe de Suisse entre Olympic et les Lions de Genève. Ils seront en revanche disponibles pour la préparation au TQO prévu en mai, soit après la finale des play-off de SBL.

Un défi au quotidien

Si feuille de route il y a, elle reste difficile à esquisser. Entre les engagements à cinq, les tournois internationaux de 3×3 et les obligations professionnelles de ceux – nombreux – qui ne vivent pas que du basket, le coach Vladimir Ruzicic a une petite dizaine de joueurs sous ses ordres chaque lundi et chaque mardi.

« Ce n’est pas toujours simple à gérer », regrette Domenico Marcario, qui a dû convoquer des internationaux M23 dans un cadre élargi comprenant aussi Brunelle Tutonda, Tshi Kashama ou Titouan Vannay. « Il y a des…





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