Lancées peu avant 1900, les serviettes hygiéniques sont les principales protections intimes vers lesquelles les femmes se tournent. Au premier abord, elles convainquent par leur coût accessible et leur praticité. D’ailleurs, les producteurs garantissent des produits ultra-absorbants et sains. Une autre proportion de femmes se tourne vers d’autres solutions comme les tampons, les coupes menstruelles, etc. Celles-ci se vantent de vous permettre de vivre sereinement durant les règles, en vous laissant libre d’effectuer toutes vos activités quotidiennes. Contrairement à la culotte menstruelle, ce type de protection hygiénique fait pourtant l’objet de quelques inquiétudes, notamment au niveau de leur composition.
Les réactions allergiques sont l’un des principaux soucis liés aux protections hygiéniques classiques. Si certaines utilisatrices souffrent d’irritations, d’autres peuvent ressentir des démangeaisons. Pour cause, les parties intimes sont une zone sensible qui supporte mal les produits agressifs. Il est cependant courant que les serviettes hygiéniques contiennent des agents parfumants pour donner une impression de fraîcheur. Par ailleurs, les colles utilisées pour les fixer correctement contiennent des solvants potentiellement irritants pour les muqueuses vaginales.
Le SCT ou syndrome du choc toxique constitue l’un des principaux dangers de l’utilisation des tampons et des coupes menstruelles. Il résulte d’une production de toxines par la bactérie Staphylococcus aureus suite à l’accumulation de sang dans l’utérus. Bien que rare, il s’agit d’une maladie grave entraînant des infections au niveau des organes uro-génitaux.
Si les protections hygiéniques en soi semblent saines, leur procédé de fabrication ainsi que les matières premières utilisées peuvent contenir des substances nocives. Le glyphosate et les dioxines sont couramment mis en cause, sachant qu’ils sont potentiellement cancérigènes, en plus d’être des perturbateurs endocriniens. Leur présence dans les protections intimes résulte du traitement de blanchiment et de la culture du coton sous pesticides.
Les questions de santé, mais aussi environnementales ont contribué à l’émergence des culottes menstruelles. Elles se veulent saines et écologiques, tant au niveau du concept que des matières utilisées. Ce type de protection intime, lancé par des marques comme Réjeanne, compte de nombreux atouts.
La culotte menstruelle représente ce qui se fait de mieux en matière de protection hygiénique. Si beaucoup vantent le mérite du coton bio, seule une certification Eoko-tex se concentre sur votre bien-être, en plus de celui de la planète. Par ailleurs, les culottes menstruelles sont garanties sans nanoparticules d’argent. Pour rappel, une contamination sanguine par le biais de ces substances est à l’origine d’un affaiblissement du système immunitaire.
Une protection hygiénique doit faire en sorte que la période des règles se passe de façon sereine. Sur ce point, la culotte menstruelle répond aux trois préoccupations principales, à savoir :
L’atout supplémentaire de la culotte menstruelle réside dans son caractère écologique, sachant que protection hygiénique réutilisable signifie moins de déchets. De plus, la collection Réjeanne est produite au plus près pour réduire l’émission de CO2.
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