CONFIDENTIEL : voici enfin pourquoi la FIFA et la CAF n’ont pas encore félicité Samuel Eto’o

• Plus de 4 jours après l’élection de Samuel Eto’o, aucune réaction de la FIFA ni de la CAF

• Cette situation fait jaser plus d’un

• Voici les probables raisons de ce silence

A la surprise générale, Samuel Eto’o, légende vivante du football camerounais a réussi à se faire élire, le 11 décembre dernier à la tête de la Fédération camerounaise de football. Cette élection est le couronnement d’une carrière riche sur les terrains de football et bien aussi en dehors. Les réactions d’enthousiasme et de félicitation se multiplient dans le monde politique, sportif, économique etc. Mais curieusement, l’on note l’absence de réaction et niveau des instances internationales du football en l’occurrence la CAF et la FIFA. Que se passe-t-il au juste ?

« 4 jours après son élection comme Président de la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot), Samuel Eto’o, jusqu’ici n’a reçu ni de courrier officiel de la CAF ni de la FIFA, le félicitant pour son élection triomphale à la tête de l’instance faîtière du football camerounais. L’aura de Samuel Eto’o s’étend pourtant au-delà des frontières. La légende mondiale s’est faite des amis à travers le monde grâce notamment à son incroyable talent de footballeur. La super star camerounaise entretient de très bons rapports avec les acteurs influents du football mondial. Samuel Eto’o considère le président de la FIFA, Gianni Infantino, comme son ami. Ce dernier fait partie des nombreuses personnalités ayant facilité l’accès aux portes des instances dirigeantes du football mondial au goaleador camerounais », constate 237actu.com

Seulement, selon certaines confidences, il semblerait que Samuel Eto’o n’a pas été le choix de ses instances. La raison, il constituerait une sérieuse menace pour eux dans la perspective de renouvellement au niveau de la CAF et de la FIFA. Pour qui connaît un peu Samuel Eto’o, son ambition n’est nullement de s’éterniser à la tête de la Fecafoot mais d’en faire plutôt un tremplin pour aller au niveau supérieur. Dans son viseur, la tête de la Confédération africaine de football.

Va-t-il y parvenir ? La question reste posée. Mais ce qui est sûr, la non réaction de la CAF et de la FIF jusqu’alors intrigue plus d’un.