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cette mini-série qui se dévore en 4 heures va faire sensation sur la plateforme


Quoi de neuf sur Netflix en ce début de mois de novembre ? La dernière saison d’une série plus qu’attendue, un documentaire pour lequel ceux qui avaient déjà apprécié plonger dans l’univers de Schwarzenegger vont craquer et une télé-réalité inspirée du phénomène Squid Game, entre autres.

Avec la suite de The Crown, Sly : Stallone par Stallone et une compétition à l’enjeu mortel, mais pas au sens propre, votre watchlist risque de rapidement s’allonger. Enfin, surtout si vous n’avez pas encore terminé de visionner tous les épisodes de Bodies et la dernière aventure dans le temps signée Steven Spielberg.

Netflix nous raconte la Grande Histoire

Parce que nous approchons des fêtes de Noël, certains expriment le besoin de se reconnecter avec notre Histoire et nos traditions. Pour ça, rien de mieux qu’un récit historique palpitant. La plateforme au N rouge vient justement d’ajouter à son catalogue une mini-série en quatre épisodes qui saura les contenter. Celle-ci est du reste adaptée du Prix Pulitzer éponyme d’Anthony Doerr, rien que ça.

Disponible depuis le 2 novembre, Toute la lumière que nous ne pouvons voir se passe en majeure partie en France, à Paris, Saint Malo et à une époque qui passionne nombre de nos férus de Grande Histoire : la seconde guerre mondiale. Au casting, on retrouve notamment Hugh Laurie, inoubliable Dr. House, Mark Ruffalo, l’incroyable Hulk et une jeune débutante pleine d’avenir du nom d’Aria Mia Loberti.

Toute la lumière que nous ne pouvons voir, ça parle de quoi ?

En quelques lignes qui devraient suffire à vous donner envie de faire retentir le « Tudum » dans votre salon, de quoi ça parle ? Marie-Laure LeBlanc, jeune femme française résidant à Saint-Malo lors de la libération, diffuse chaque jour une transmission radio illégale, mais pleine d’espoir. Malvoyante, elle doit affronter les bombardements seule. Enfin, jusqu’à ce que deux héros dont la Deuxième Guerre mondiale va bouleverser l’existence ne viennent troubler la sienne.

Si le spectacle ravira les fous d’Histoire, les amateurs d’effets spéciaux réussis y trouveront également leur compte. Shawn Levy, le showrunner explique : « Dans la dernière scène où Werner court sur les remparts de Saint-Malo durant les bombardements, nous avons mis en place de véritables explosions. »

@aytherseries

L’actrice Aria Mia Loberti est elle aveugle dans la vraie vie ? 🍿 #ariamialoberti #marielaureleblanc #allthelightwecannotsee #toutelalumierequenousnepouvonsvoir #netflix #actors #actorslife

♬ son original – Ayther • Infos Séries & Films

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Des effets spéciaux à couper le souffle

D’autres séquences ont par ailleurs été tournées à Budapest pour simuler les rues de Paris. Et même si certaines scènes de guerre mettent en scène des décors naturels, la présence d’effets spéciaux participe grandement au réalisme parfois glaçant des bombardements par exemple.

Shawn Levy a pour finir tenu à signaler : « Il y avait des approches différentes pour chaque scène. Dans la première scène de la série, les Anglais et les Américains bombardent Saint-Malo. La plupart de ces plans, les avions, les bombes, les débris dans Saint-Malo, sont surtout des effets spéciaux, car nous ne sommes pas Dunkerque (film de Christopher Nolan, N.D.L.R.). Je n’avais pas le budget d’un énorme film. »





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