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cette maison paradisiaque en Bretagne où vit la journaliste de TF1 depuis toujours


Le cap à l’ouest est une direction qu’Anne-Claire Coudray se plaît toujours à prendre lorsqu’elle assure la présentation du JT du week-end de TF1. Bretonne pure beurre, la Parisienne d’adoption, qui a fêté ses 47 ans le 1ᵉʳ février, ne manque jamais une occasion de mettre en avant les paysages de son enfance.

Le décor des premières années d’Anne-Claire Coudray, c’est celui du golfe du Morbihan et du village de Locmariaquer où ses parents se sont établis auprès des aïeuls maternels trois mois avant sa naissance. C’est sur une côte sauvage où un enfant ne saurait s’ennuyer que celle que la frénésie de la capitale a un temps éloignée de ses racines s’est épanouie.

L’attachement d’Anne-Claire Coudray à sa Bretagne natale

En 2021, l’oncle de la journaliste, maire de la commune de Locmariaquer, lui proposait de devenir la marraine d’un festival de photographie local. Interrogée par Ouest-France à cette occasion, l’enfant du pays signifiait avoir à cœur de s’engager envers une région qu’elle a pu négliger. « Je garde un petit sentiment de culpabilité de l’avoir laissée trop longtemps. Depuis que je m’y réintéresse, je me rends compte combien cette région m’a construite comme je suis aujourd’hui. Elle m’a apporté la sérénité », a-t-elle admis.

« Quand vous êtes jeune, vous n’avez qu’une envie, c’est de partir loin de chez vous. C’est ce que j’ai fait pendant vingt ans avec mon métier », a-t-elle déclaré. La journaliste a confié que c’est une rencontre avec des éleveurs de rennes en Sibérie, particulièrement attachés à leurs terres, qui lui a fait comprendre que sa Bretagne natale l’appelait.

La maison d’enfance d’Anne-Claire Coudray dans le Morbihan

À l’époque, la compagne de l’homme d’affaires Nicolas Vix venait de donner naissance à Amalya, huit ans, sa fille unique. « Depuis que j’ai ma fille, je l’emmène en vacances chez mes parents tous les étés », a-t-elle ajouté.

Ce pied-à-terre familial, c’est la maison de son enfance, une chambre d’hôte entièrement rénovée par sa mère. Aujourd’hui, sa fille et ses cousins s’approprient à leur tour les lieux et partagent les jeux d’autrefois de leurs parents.

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« J’allais à la plage, je faisais des colliers en coquillage, on peignait sur des galets, on allait à la pêche, on ramenait des bigorneaux qu’on cuisait le soir. On allait jouer dans les mégalithes. On avait un terrain de jeux de dingue« , s’est-elle souvenue.

Ce lien avec sa Bretagne, la présentatrice prend ainsi désormais le temps de le chérir, d’autant qu’elle lui doit énormément. « Ça m’a portée et m’a rendue modeste. Le fait d’être Bretonne… On ne se prend pas pour qui on n’est pas. Cette culture me sert tous les jours dans le métier que je fais où j’aurais pu prendre la grosse tête« , a-t-elle souligné.





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