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ce véhicule au cœur de l’enquête, “Ça vaut la peine de s’intéresser à son conducteur”


Le mystère reste entier. Sept mois après la disparition du petit Emile, 2 ans et demi, le 8 juillet 2023 dans le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), les enquêteurs ne savent toujours pas où est passé le petit garçon. Alors que les investigations se poursuivent, un péage très fréquenté intrigue particulièrement les gendarmes. 

Afin de trouver une piste à suivre, voire de découvrir un éventuel suspect, les enquêteurs ont eu recours au dispositif Anacrim. Grâce à cet outil informatique qui permet de rassembler tous les éléments d’un dossier, les autorités sont à même d’analyser, vérifier et recouper toutes les données récoltées pendant l’enquête. Anacrim est notamment connu pour être utilisé dans l’affaire du petit Grégory

Disparition d’Emile, dans les Alpes-de-Haute-Provence : cette zone clé au cœur de l’enquête

Depuis les prémices de l’enquête, près de 300 scellés ont été récupérés et analysés, reste les données téléphoniques des personnes qui ont borné près du lieu où le petit Emile a disparu. En effet, près de 1600 lignes téléphoniques ont été recensées ce jour-là. Mais alors que ces éléments font l’objet de toutes les attentions, un péage d’autoroute attise également l’intérêt des gendarmes. 

Selon les informations du Figaro, le péage de l’autoroute A51, situé à une cinquantaine de kilomètres du village où habitent les grands-parents d’Emile, est dans le viseur des enquêteurs. Ce péage est scruté afin de déterminer si un coupable potentiel ou un témoin qui ne s’est pas encore fait connaître serait passé par ce chemin en quittant les lieux de la disparition.

RTL, les autorités des Alpes-de-Haute-Provence auraient prévu de nouvelles fouilles dans les alentours du village du Vernet. Depuis la disparition d’Emile, les gendarmes sont tributaires des saisons et des recherches après l’hiver, lorsque la neige aura quitté les hauteurs du hameau permettront peut-être de découvrir ce qui est arrivé au petit garçon de 2 ans et demi.

Récemment, une promeneuse a donné l’alerte alors qu’elle se baladait sur un chemin de randonné. “Près d’un ruisseau”, non loin du Vernet, elle a découvert des ossements. Très vite, ils ont été confiés aux experts scientifiques. Quelques jours après, le verdict est tombé, il s’agit d’os d’animaux et non d’ossements humains. 





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