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ce membre de la famille royale dans le viseur du FBI


« Never complain, never explain », en français « Ne jamais se plaindre, ne jamais s’expliquer », voilà une petite phrase que les sujets britanniques ne connaissent que trop bien. En effet, cette dernière est principalement associée à la stratégie de relations publiques d’une famille royale peu loquace lorsqu’elle est éclaboussée par le scandale.

Cette année, face aux attaques de son cadet, le prince William a particulièrement fait sienne cette vieille maxime. En janvier dernier, Harry accordait sa seule interview aux médias britanniques pour faire la promotion de ses mémoires brulants.

Une maxime chère à la famille royale britannique

À cette occasion, l’exilé de Montecito, dont la haine pour la presse anglaise est pourtant connue de tous, balançait une phrase choc : « Je voudrais renouer avec mon père. Je voudrais renouer avec mon frère, mais ils n’ont démontré aucune volonté de réconciliation. » Bien qu’embarrassantes pour Charles III et celui qui est appelé à lui succéder, les confessions de Dirty Harry ne sont rien comparées aux dernières révélations concernant l’affaire dans laquelle le prince Andrew est empêtré depuis des années maintenant.

Le petit frère du souverain, fait à nouveau parler de lui après de nouvelles avancées judiciaires et un verdict dans l’affaire Epstein. Proche de Jeffrey Epstein et de compagne Ghislaine Maxwell, le prince Andrew a été accusé d’avoir participé à des soirées où il aurait violé Virginia Giuffre, 17 ans à l’époque des faits.

Le prince Andrew, membre éminent de la famille royale, intéresse le FBI

Ainsi, il se pourrait bien que le benjamin d’Elizabeth II soit prochainement entendu par le FBI à cause d’un homme : le magnat de la mode Peter Nygard. Ancien hôte du prince dans son manoir des Caraïbes, il a récemment été reconnu coupable de quatre chefs d’accusation d’agression sexuelle au Canada.

L’avocat Spencer Kuvin, défenseur de plusieurs victimes de Jeffrey Epstein, estime que le prince Andrew ne pourra plus se défiler encore bien longtemps. « Si le prince Andrew est innocent, il devrait accorder un entretien complet au FBI », a-t-il fait savoir. Avant d’ajouter : « Son silence persistant face à plusieurs amis proches reconnus coupables d’agression sexuelle – Ghislaine Maxwell et maintenant Peter Nygard – pue la mauvaise conscience. »

@50inside

Le Prince Andrew, fils de la Reine Elizabeth II 👑, déchu après avoir été impliqué dans des affaires de mœurs 😳🇬🇧 #replay #50inside #princeandrew #reineelizabeth

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12 millions de livres sterling, le prix de la discrétion

Du reste, d’après lui, la stratégie du prince Andrew, qui consiste à faire profil bas pour que cette affaire n’éclabousse pas la Firm, ne ferait que le desservir. « Ne pas fournir des comptes complets et véridiques crée des dégâts supplémentaires, en privilégiant le silence au détriment de la vérité », a-t-il expliqué.

Pour rappel, cette discrétion calculée a déjà couté cher au prince Andrew. En février 2022, il a versé 12 millions de livres sterling (plus de 13,5 millions d’euros) à Virginia Giuffre pour éviter à lui et aux siens un procès civil humiliant outre-Atlantique.





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