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En 2011, Geoff Ward a remporté la Coupe Stanley avec Boston face à Vancouver lors du 7e match. Alors assistant de Claude Julien, le coach du LHC avait écrit une lettre qui avait motivé les joueurs.

Ah, les septièmes matches, ceux qui peuvent échapper à toute logique. Surtout lors d’une finale. Mardi soir à Zurich, le duel des Lions de National League connaîtra son épilogue. Pour les coaches, il va falloir trouver les mots justes, appuyer sur les bons boutons afin que les joueurs entrent sur la glace avec une énergie positive, de celles qui permettent de renverser des montagnes.

Lors de la finale de la Coupe Stanley 2011, Boston a vaincu Vancouver en sept matches. Et avant le dernier acte au Canada, Geoff Ward, alors assistant, avait lu une lettre à la demande de l’entraîneur Claude Julien.

« En fait, c’était une lettre adressée à mes enfants », se souvient l’entraîneur du LHC, rencontré après l’entraînement de lundi. « Le jour du match lors de la sieste, je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Alors j’ai décidé de refléter ce qu’il fallait faire pour gagner et j’en ai fait une lettre pour mes enfants. Je me suis dit qu’ils pourraient peut-être comprendre ma situation et en tirer quelque chose plus tard. »

Claude Julien prend connaissance de cette lettre et en imagine rapidement la portée. « Claude m’a demandé de la lire avant le match VII, raconte Ward. Les gars m’avaient demandé si j’avais une copie de cette lettre, mais je n’en avais pas. J’ai perdu cette lettre. Cela fait partie de l’histoire maintenant. »

Un impact minime selon lui

Quand on lui dit que cette lettre doit avoir sa place au Hall of Fame de la NHL à Toronto, Geoff Ward éclate de rire: « Mais non! Les gars étaient prêts quoi qu’il arrive. Je ne crois pas que cette lettre a changé grand-chose dans ce match. Nos joueurs avaient été suffisamment testés durant ces séries, ils savaient quoi faire. Beaucoup de gens parlent de cette lettre, et si cela a pu aider un seul joueur, alors ça valait la peine. Honnêtement, je ne me rends pas compte de l’impact que cela a eu. »

On avance l’hypothèse d’un aspect simple de la vie. « Peut-être, répond Ward. C’est vrai que c’est une expérience de vie normale à laquelle les autres peuvent s’identifier. Cela faisait quatre ans que l’on préparait ça et que l’on espérait se retrouver à cette place. C’était un bon exercice pour moi, afin de conserver mon esprit là où il devait être….

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