Brigitte Fossey : la phrase dure de sa mère après son succès dans Jeux Interdits

A 77 ans, Brigitte Fossey demeure une icône intemporelle du cinéma français, reconnue dès ses débuts dans Jeux Interdits, alors qu’elle n’avait que cinq ans. Mais si elle a su garder les pieds sur terre au fil des années, c’est notamment grâce à une phrase dure, mais juste, de sa mère.

Une icône du cinéma français. Pour Brigitte Fossey, le succès a démarré à seulement cinq ans, dans le film Jeux Interdits de René Clément, qui lui a valu un succès international. Le rôle poignant de Paulette, une enfant orpheline durant la Seconde Guerre mondiale, lui a offert une renommée précoce, notamment grâce à l’Oscar du meilleur film étranger en 1953. Face à ce succès écrasant, ses parents l’ont certes retirée du monde du spectacle pour tenter de lui donner une vie normale et des études complètes, mais le cinéma l’a très vite rattrapée.

Après avoir fait son grand retour en 1967 dans Le grand Meaulnes, celle qui a été mariée au réalisateur Jean-François Adam – une union dont est née l’actrice Marie Adam -, a continué sa carrière aux côtés de grandes figures telles que François Truffaut et Robert Altman. Désormais remariée avec le chirurgien-dentiste Yves Samama, Brigitte Fossey n’a jamais vraiment quitté nos écrans mais a toujours gardé les pieds sur terre, ce qu’elle doit, notamment, à une phrase dure que lui avait dite sa mère dès ses débuts…

Brigitte Fossey recadrée par sa mère dès ses débuts

Loin d’être cantonnée à son image d’enfant-star, Fossey a brisé les stéréotypes en choisissant des rôles audacieux et variés. Sa filmographie, comprenant La Boum, dans laquelle elle joue la mère de Sophie Marceau, témoigne de sa polyvalence. Mais si cette grande dame du cinéma, aujourd’hui âgée de 77 ans, a toujours su garder les pieds sur terre, c’est en grande partie grâce à sa mère.

Dans un entretien accordé à Télé Magazine, Brigitte Fossey explique que dès le succès de Jeux Interdits, sa génitrice a tout fait pour qu’elle ne s’emballe pas trop vite. « Maman m’a préservée des effets de la notoriété en me disant : ‘Ce n’est pas toi qu’on applaudit, mais René Clément, qui a fait un bon film’. Ça aide à relativiser », concède celle qui a récemment pris la défense de Gérard Depardieu. Une phrase dure, peut-être, mais qui a permis à Brigitte Fossey de rester terre-à-terre.

Cet article a été rédigé avec l’aide d’une intelligence artificielle, relu, corrigé et enrichi par les journalistes de la rédaction.