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« Aujourd’hui, j’ai pardonné » : les touchantes confidences de David Hallyday sur son enfance dans l’ombre de ses illustres parents



À l’occasion de la sortie de son autobiographie, David Hallyday s’est confié sur son enfance lors d’un entretien accordé au Figaro, vendredi 17 novembre. Le chanteur a notamment évoqué la difficulté de grandir dans l’ombre de deux grandes stars.

Le 5 décembre 2017, Johnny Hallyday mourrait à l’âge de 74 ans après un long combat contre un cancer des poumons. La légende de la chanson française laissait derrière elle quatre enfants : Jade, Joy David et Laura. Cinq ans après la disparition de Johnny Hallyday, David Hallyday avait décidé de rendre hommage à son père en ressortant une chanson oubliée au fond d’un tiroir pendant près de 21 ans. « Le plus heureux des hommes, est celui, celui qui sait croire. Et tu as fait de moi, cet homme-là », chante notamment David Hallyday dans le refrain de son titre.

À l’occasion de la sortie de ce single, il était revenu sur son enfance compliquée au cours d’un entretien accordé sur RTL. « Il y avait des moments de musique, quand il me réveillait à cinq heures du mat’ quand j’étais petit pour jouer de la batterie devant ses potes quand il rentrait à pas d’heure. Ça amusait moins ma mère je pense, mais moi ça m’amusais beaucoup, lui ça avait l’air de l’amuser aussi […] Quand on rajoute la célébrité et l’espèce de frénésie autour, forcement c’est compliqué pour les enfants qui ne voient pas trop leur père« , avait-il expliqué.

« Aujourd’hui, j’ai pardonné »

Vendredi 17 novembre, David Hallyday a évoqué la difficulté de grandir dans l’ombre de parents célèbres au cours d’un entretien accord au Figaro. Très jeune, le chanteur a le sentiment que ses parents lui sont « volés ». « C’est très difficile à vivre. Cela peut donner l’impression de se sentir orphelin et donc on en fait des tonnes quand on voit ses parents, on a envie qu’ils nous regardent », a-t-il expliqué. « David Hallyday a encore en mémoire cette foule d’inconnus, et lui en retrait, tiré par sa grand-mère, qui lui disait : ‘Ne reste pas là, viens.’ Toujours ce ‘sentiment de dépossession’… C’était de la folie », précise Le Figaro. « Je comprends aujourd’hui, j’ai pardonné, mais pardonner, ce n’est pas ne pas souffrir », a ajouté David Hallyday. Des confidences touchantes.



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