après la polémique sur la photo retouchée, ce détail sur sa vidéo n’est pas passé inaperçu

Après l’annonce de son combat contre le cancer, Kate Middleton a reçu nombre de vœux de rétablissement. Néanmoins, au milieu de cette vague de soutien, les théories complotistes continuent d’affluer, ravivant les débats qui ont enflammé les médias pendant son absence. Les théoriciens du complot ont l’œil vif pour dénicher le moindre détail. Ils ont disséqué avec minutie la vidéo publiée par Kensington, où la princesse de Galles lève le voile sur sa lutte contre la maladie.

Au cours de cette déclaration publique, un détail a attiré l’attention et relancé les spéculations : la bague de fiançailles de Kate Middleton semble apparaître et disparaître dans la vidéo. Sur certains plans, elle la porte, mais sur d’autres, le bijou est absent. Ce mystère a enflammé les réseaux sociaux : « Pourquoi la bague de Kate Middleton disparaît-elle à 1,19 min de la vidéo ? », s’est interrogé un utilisateur de X (ex-Twitter). « C’est de l’intelligence artificielle », a répondu un autre internaute en commentaire. Les théories vont bon train, alimentant ainsi les doutes sur la véracité des séquences.

La vidéo de Kate Middleton, truquée au même titre que sa photo ?

Sur le plateau de Touche pas à mon poste, ce lundi 25 mars, les chroniqueurs ont décortiqué cette hypothèse. Guillaume Genton a, lui aussi, avancé que ce glitch pourrait être attribué à l’utilisation de l’intelligence artificielle. Selon lui, étant donné les antécédents du palais de Kensington avec la photo truquée pour la fête des Mères, une éventuelle manipulation aurait pu intervenir.

Comme pour toute accusation partagée sur la Toile, nombre d’internautes s’attachent à débunker les allégations. « Il est clairement prouvé en ralentissant la vidéo que la bague est bien présente dans chacun des plans. Le deuxième plan est tiré d’un moment où la princesse Catherine bougeait rapidement sa main et la bague reflétait la lumière, ce qui la faisait apparaître floue. », a avancé un commentateur.

Un « deepfake » de Kate Middleton dans la vidéo dans laquelle elle annonce son cancer

Parmi les autres arguments avancés par les théoriciens du complot ? Pour appuyer l’usage du « deepfake » par les Windsor, certains pointent du doigt l’immobilité suspecte de l’arrière-plan, tandis que d’autres scrutent les expressions faciales de Kate Middleton, remettant en question des détails comme l’absence de sa fossette emblématique. Sur X, un commentaire cinglant résume l’incrédulité générale : « Désolé, Maison Windsor, Kate Middleton et médias traditionnels, je ne vous crois toujours pas ». 

Même face à son combat contre le cancer, Kate Middleton n’a pas été épargnée par les tentatives de désinformation. Des voix ont injustement remis en question la gravité de sa maladie, allant jusqu’à comparer le traitement de chimiothérapie à du « poison ». À noter que pour beaucoup de commentateurs de la question royale, cette vague de désinformation a été alimentée par une communication maladroite du palais, exacerbant la méfiance du public et alimentant l’appétit pour les enquêtes.

Des théories du complot qui entourent Kate Middleton et les autres membres de la famille royale

La Couronne d’Angleterre n’en est pas à sa première vague de fausses informations. « C’est effectivement une cible assez classique des théories du complot. La famille royale anglaise est par essence une élite. Elle est soupçonnée d’être aux manettes et d’accomplir un agenda personnel au détriment de la population. Les figures connues en position de puissance excitent particulièrement les esprits complotistes, de la même manière que certaines communautés. », a développé le sociologue Laurent Cordonier auprès du Point. 

Ces nombreuses théories complotistes ne sont pas sans rappeler les débats qui ont afflué après la mort de Lady Diana. « Un certain nombre de personnes pensent que la mort de Lady Diana n’était pas accidentelle et en même temps qu’elle serait vivante, cachée quelque part. On voit bien que ces deux croyances sont incompatibles. Le problème central est finalement que ces personnes ne croient pas en la ‘version officielle‘. », a confié l’expert.