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Vrais milliardaires : Decouvrez comment Jeune Afrique humilie Amougou Belinga et célèbre Samuel Foyou

Quand on parle d’industriel au Cameroun et de vrai milliardaire, l’on cite rarement ou presque jamais le nom de Jean-Pierre Amougou Belinga, considéré par beaucoup comme un faux milliardaire ou quelqu’un qui s’est enrichie de manière sulfureuse. Jeune Afrique célèbre les 500 entreprises championnes en Afrique. Parmi les personnalités célébrées, Samuel Foyou

« Samuel Foyou, l’industriel camerounais qui ne se fixe aucune limite », a titré Jeune Afrique.
« Au Cameroun, le discret homme d’affaires vient de concrétiser ses projets dans l’hôtellerie et les boissons. Il envisage également de se lancer dans la banque. Des initiatives qui en appellent d’autres, en particulier dans l’agroalimentaire.
500 CHAMPIONS AFRICAINS – En se découvrant aux Camerounais le 17 décembre 2021, il y a plus d’un an déjà, Samuel Foyou s’est fait violence. Difficile de faire autrement pourtant, lorsqu’on a réussi à convaincre le Premier ministre, Joseph Dion Ngute, d’effectuer le déplacement à Douala pour inaugurer le premier hôtel cinq étoiles de la ville.Vêtu d’une tenue traditionnelle rayée aux couleurs noire et blanche, caractéristique de son Ouest natal, et coiffé d’une chéchia assortie, le self-made-man a décliné les caractéristiques du Krystal Palace, ce joyau de plus de 500 chambres au cœur du quartier d’affaires d’Akwa, dont la construction a coûté plus de 36 milliards de F CFA », expose JA
« À cette occasion, il annonçait le lancement de deux autres projets d’établissements à Yaoundé et dans la cité balnéaire de Kribi, qui viendront muscler la chaîne Krystal, déjà détentrice d’un hôtel en Afrique du Sud. En effet, s’il a réduit son empreinte en Angola et au Congo, Samuel Foyou et les siens « ont désormais fait de l’immobilier sud-africain leur terre d’élection à l’extérieur du Cameroun » indique une source proche de l’industriel.Quoi qu’il en soit, six mois plus tard, le natif de Batié dans les hauts plateaux du pays bamiléké, où il passe le plus clair de son temps, mettait sa propre marque de bière, dénommée « Slash », sur le marché. Particularité de ce produit des Brasseries Samuel Foyou (Brasaf), l’emballage est en plastique. « Afin de ne pas dépendre du groupe Castel et de ses bouteilles en verre produites par la Socaver [filiale de Sabc] », commente un connaisseur. Le pôle boissons, qui produisait déjà du whisky en sachets au travers de Fermencam, racheté au groupe Fotso en 2006, venait ainsi d’être renforcé », précise Jeune Afrique.

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