Vol et corruption : Amougou Belinga va être coincé, voici comment un média lance la bombe

Le richissime patron de la chaîne de télévision Vision 4, grand homme d’affaires très respecté et craint au Cameroun, Jean-Pierre Amougou Belinga est encore ciblé. Et comme toujours, c’est une histoire de gros sous.

Jean-Pierre Amougou Belinga est de loin l’un des plus grands milliardaires camerounais. Il doit sa fortune à ses entreprises qui lui rapportent beaucoup d’argent.

Mais surtout à ces autres affaires, la plupart non révélées, avec des autorités et/ou membres du gouvernement dirigé par le Premier ministre Joseph Dion Ngute.

Cette fois-ci, c’est le journal La nouvelle qui tire sans hésiter sur Jean-Pierre Amougou Belinga qui a fini par comprendre que la célébrité et la richesse ont aussi leur revers de la médaille.

Le journal La nouvelle a écrit à sa Une à la manchette, avec une photo de Jean-Pierre Amougou Belinga : « Braquage à ciel ouvert. Cet homme est très dangereux ».

Le média écrit en cinq (05) points : « Engagements et paiements sur la ligne 65 de 2013 à 2021 : 21 milliards de francs CFA.

Engagements et paiements sur la ligne 94 de 2013 à 2021 : 8,5 milliards de francs CFA.

Engagements et paiements sur la ligne 57 de 2013 à 2021 : 17,3 milliards de francs CFA.

Engagements par la DSP de 2013 à 2021 : 46,7 milliards de francs CFA.

La grande débandade de la coterie mafieuse a déjà commencé ».

L’homme d’affaires Jean-Pierre Amougou Belinga n’est pas encore sorti de l’auberge. Si ça se trouve, il n’en sortira jamais. Le Camerounais pourrait même être arrêté et entendu.

Michel Biem Tong est un journaliste qui épouse les convictions du journal La nouvelle. Il a fait un post sur les réseaux sociaux lundi le 09 janvier 2023.

Dans celui-ci, on peut lire : « Oui, Jean-Pierre Amougou Belinga est un gros voleur qui s’illustre par le pillage à ciel ouvert des ressources publiques ».

« Mais que ce soit le journal La nouvelle qui le canarde ainsi en grande Une montre que les batailles de clans font vraiment rage dans le sérail camerounais », évoque-t-il.