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Voici pourquoi Je regrette ce qui s’est passé hier avec Maurice Kamto – Hervé Emmanuel Nkom

• Maurice Kamto est séquestré dans un hôtel à Douala


• Hervé Emmanuel NKOM réagit par rapport à cet évènement

• Il regrette ce qui arrive à Maurice Kamto

La situation reste tendue à l’Hôtel Vallée des Princes de Douala où est séquestré depuis ce mercredi 1er décembre 2021, le président national du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) par un important bataillon de la police nationale.

En effet, dans le cadre de sa tournée dans la capitale économique du Cameroun, le Prof Maurice Kamto s’apprêtait à procéder à une séance de dédicace de ses ouvrages lorsque la police a encerclé les lieux l’empêchant de sortir.

Cette situation suscite des réactions tant du côté du pouvoir que celui de l’opposition.

Reçu ce jeudi matin sur la chaine « ABK Radio », Hervé Emmanuel NKOM, membre du comité central du RDPC, n’a pas caché sa gêne face à cette situation. Dans cet entretien croisé avec l’homme politique Cyrille SAM MBAKA, Hervé Emmanuel NKOM estime que démarche des éléments de la police doit être fondée sur des informations visant le trouble à l’ordre public
« Je regrette ce qui s’est passé hier avec Maurice KAMTO. Cyrille SAM MBAKA sait très bien que les autorités connaissent les parties visibles et invisibles d’une manifestation. Elles disposent des informations qui ne sont pas à la portée de tout le monde (…) On pense que derrière cette dédicace il y avait quelque chose qui devait troubler l’ordre public. », a-t-il déclaré.

Cette sortie prend le contrepied de celle du Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’université de Dschang, le Prof Jean Gatsi. Dans une tribune publiée sur la toile, ce dernier compare le Prof Maurice Kamto à un « imbécile » qui « tente de faire croire qu’il existe ».

L’IMBECILE TENTE DE FAIRE CROIRE QU’IL EXISTE – PR JEAN GATSI A MAURICE KAMTO

KAMTO MAURICE, UN IMBÉCILE.

Kamto Maurice, qui n’a pas pu convaincre et avoir le vote des électeurs dans son propre quartier à Baham lors de la dernière élection présidentielle, vocifère encore aujourd’hui. L’imbécile tente de faire croire qu’il existe.

Après avoir tenté en vain d’organiser une insurrection populaire, après avoir tenté en vain de monter les Camerounais les un contre les autres et dans l’unique but d’organiser un génocide dans notre pays pour accéder au pouvoir, après avoir soutenu le terrorisme ambazonien, il essaie aujourd’hui une nouvelle provocation en espérant en tirer un profit politique et pécuniaire.

Il oublie de ce fait, que ce n’est pas en bloquant les élèves, Benskineurs et autres citoyens en déplacement à une heure de sortie d’école, dans un carrefour du quartier Grand moulin à Douala, que l’on devient populaire ; que ce n’est pas en vociférant sur un petit balcon que l’on acquiert la légitimité populaire.

Se sentant très impopulaire, Kamto Maurice avait pris de l’argent à ses frères Bamilekes pour ne pas aller aux dernières élections législatives et municipales, brisant par là même la carrière politique de nombreux compatriotes qui croyaient au pouvoir des urnes.

Aujourd’hui, celui-là qui n’a aucun élu sur toute l’étendue du territoire national, celui-là qui a escroqué de nombreux Camerounais et de nombreuses Camerounaises dans la fameuse opération « Survivol » pour s’acheter une voiture neuve, veut de nouveau faire croire à ses victimes qu’il a encore un avenir politique.

A la vérité, les Camerounais savent que Kamto Maurice est fini. Et depuis son départ à la retraite à l’université, il ne joint les deux bouts que grâce au banditisme politique. Derrière sa dernière sortie-provocation au balcon d’un petit studio à Grand Moulin à Doula, se cache donc une nouvelle idée d’escroquerie. Dans les tous prochains jours, il trouvera encore le moyen d’avoir un peu d’argent de nouvelles victimes afin améliorer sa condition de retraité.

Mais l’ethnofasciste doit comprendre, que dans ce contexte de provocation initiée, en face de lui, il n’y aura plus d’enfants de cœur. La bagarre qu’il cherche, il la trouvera, et il n’y aura plus moyen de reculer. Je lui signifie donc qu’il y aura bien garçon sur le chemin.

A l’imbécile je rappelle enfin que « qui cherche trouve ; et qui trouve supporte ».

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