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Voici les images choc du mariage de Mimi Mefo

La célèbre journaliste camerounaise aura-t-elle encore le temps d’informer les Camerounais via ses propres médias ? Mimi Mefo Takambou est désormais une femme mariée. Une nouvelle page s’ouvre dans la vie de la professionnelle de media qui a abandonné son pays malgré elle.

Depuis sa terre d’asile, Mimi a continué de fournir des informations de première main sur la guerre en cours dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun. Les Camerounais ignorent tout sur du mari de la journaliste. La rédaction de infoscameroon souhaite un heureux mariage au couple.

Qui est Mimi Mefo

Mimi Mefo Takambou, née le 16 mai 1989 à Baleng (Cameroun), est une journaliste et présentatrice de journal télévisé camerounaise. Elle est la fille de Takambou et d’Ayaba Manyi Glory .Elle a reçu plusieurs prix liés à ses activités de journaliste. Après son GCE A à Bali Nyongha, Mimi s’inscrit au département de « journalism and mass communication » à l’Université de Buea, où elle obtient un Bachelor en journalisme en 2011. Diplôme qui va lui permettre d’accéder au monde professionnel. Immédiatement après avoir obtenu son diplôme de l’Université de Buea, elle choisit de travailler avec HI TV dans la région du Sud-Ouest de Buea. Elle y travaille pendant un an avant de rejoindre le bureau anglais de la télévision et de la radio Equinoxe à Douala.

Elle est reporter et ensuite présentatrice pour la chaîne Equinoxe télévision, une chaîne privée – créée par Séverin Tchounkeu – à forte audience au Cameroun. Elle est rédactrice en chef adjointe à la même chaîne de télévision, responsable du desk anglophone de la chaîne. Elle fait partie d’importantes figures journalistiques de l’espace public médiatique au Cameroun et principalement dans la ville de Douala où elle exerce.

Elle est incarcérée à la prison de New Bell le 7 novembre 2018 pour avoir publié un tweet accusant l’armée régulière d’être à l’origine de la mort d’un pasteur américain dans la zone anglophone du Cameroun, zone en proie à des troubles depuis 2016. Le motif d’accusation est propagation de fausses nouvelles et outrages aux corps constitués et aux fonctionnaires.

Après des réactions de désapprobations des journaux nationaux et internationaux, de politiques et autres personnalités, elle est libérée le 10 novembre 2018 en exécution de l’ordre de mise en liberté du commissaire du gouvernement du tribunal militaire de Douala.

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