Voici Comment Paul Eric Kingue a été assassiné dans un hôpital de Douala

•Il y a un an mourrait Paul Eric Kingue

•Il aurait été tué selon plusieurs sources

•Il était au cœur des guéguerres politiques

Paul Eric Kingue a quitté ce monde il y a un an. L’ancien maire de Njombe Penja eait mort le 22 mars 2021 dans une clinique à Douala. Dans les reseaux sociaux on annoncait que l’ancien allié de Maurice Kamto était mort des suites de Covid-19. Pourtant de nouvelles révélations indiquent que Paul Eric Kingue avait été assassiné dans une clinique à Douala. « D’abord, je compatis au chagrin et, surtout, la frustration subséquente sur laquelle est adossée le légitime doute selon lequel, « le covid19 n’aurait pas pu tuer Kinguè, et qu’en fait, ce seraient ses adversaires politiques qui l’auraient eu, dans cet hôpital ». Vous et moi pouvons donc nous comprendre, au moins sur la peine et l’évidence de l’implacable vérité selon laquelle : l’homme fort de Njombe-Penja n’est plus. En effet, Paul Éric Kinguè s’est senti mal en tout début de Mars 2021. Les premiers signaux était de légères courbatures, petits maux de tête et fatigue. On aurait crû, pour quelqu’un d’ordinaire, qu’il s’agit du stress, d’autant plus qu’il travaillait beaucoup et sans repos, depuis son élection comme Maire de la Commune de Njombe-Penja. C’est ainsi qu’il va se rendre à l’hôpital. Comme il est de tradition dans nos hôpitaux, sous l’ère Covid19 tout patient est soumis, au test du Covid19. Il accepte, volontier et le fait. Résultat : positif au covid19.Selon les médecins. Les rapports qui s’en suivent indiquent que, à partir de son admission dans cette clinique jusqu’au jour de son décès, le MARDI, 22 MARS 2021 À 1h45, son état de santé s’est progressivement et vertigineusement dégradée, sans répit. Avec des piques d’agitation la nuit et un calme relatif en journée.

Les sept (7) ou huit (8) jours qui ont précédés son décès ont été marqués par sa mise sur assistance respiratoire. Paul Éric Kinguè aurait alors, à l’exploitation des factures, consommé dix (10) bonbonnes d’oxygène. Rendu à demi conscient, l’homme était très agité. Violent à la limite. Menaçant d’arracher le dispositif du respirateur tel que l’affaire la version officielle.

Sauf que selon une source familiale le décès de Paul Éric Kingue a bel et bien été commandité de haut Paul Eric Kingue trainait en fait plusieurs dossiers qui à la limite faisaient de lui un élément perturbateur. Pour huit années passées « injustement dans les geôles infestes de la prison de New-Bell. L’Etat du Cameroun avait été sommé par le Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies, d’accorder à Paul Eric Kinguè « Une réparation intégrale; un recours utile et une indemnisation adéquate correspondant au préjudice subi… » cette réparation s’élevait à 6 milliards de FCFA. Après les 9 mois passés en prison en compagnie de Maurice Kamto, Paul Eric Kingue avait une fois de plus saisi l’ONU pour qu’on condamne le Cameroun à me verser 10 milliards pour les 9 mois passés en prison. En plus de cela, Paul Eric Kingue avait relancé sa guerre contre les sociétés qui exploitaient les carrières Pouzzolane de Njombe Penja, choses qui faisaient de lui l’homme à abattre. C’est pourquoi une fois admis à l’hôpital le maire de Njombe Penja fut tout simplement tué soutient un proche de sa famille, qui dit ne pas comprendre comment son état de santé s’est dégradé alors que rien ne le présageait.