Voici comment Le Coq Sportif inflige une nouvelle humiliation à Eto’o et présente le maillot officiel des Lions

• Le maillot a été dévoilé

• Des joueurs vont prendre des photos dans la semaine

• La phase de promotion bientôt lancée

C’est une nouvelle information dévoilée après le passage de la forte délégation au cabinet civil de la République.

Marc Henri Beausire accompagné de Yannick Noah et d’autres personnalités ont été reçus par Mvondo Ayolo.

Après la rencontre avec les autorités camerounaises, Le coq sportif aurait présenté son maillot officiel pour les Lions Indomptables pour la coupe du monde Qatar 2022. C’est Shance Lion qui dévoile l’information sur sa page Facebook.

On annonce déjà, selon certains indiscrétions, que des joueurs de l’équipe nationale devraient prendre des photos cette semaine pour la promotion du nouveau maillot. L’équipementier devrait également rendre officielle l’information dans les prochains jours, a-t-on appris à la rédaction de infoscameroon.

Il faut rappeler qu’une procédure judiciaire a été ouverte à Paris cette semaine contre la Fécafoot pour rupture abusive de contrat avec l’équipementier français Le Coq Sportif.

Coq sportif : la question du magistrat français qui a mis KO Eto’o et les avocats de la Fecafoot ce jeudi à Paris

La rédaction de infoscameroon annonçait ce jeudi un possible revirement de situation dans le dossier Coq Sportif – Fecafoot.

Une nouvelle procédure judiciaire s’ouvre à Paris dans le cadre de la rupture du contrat entre le coq sportif et la Fecafoot. Cette nouvelle procédure judiciaire fait suite au passage d’une délégation française conduite par le patron de l’entreprise française, Marc Henri Beausire à Yaoundé. Il avait été reçu par le ministre Mouelle Kombi et le Directeur du cabinet civil, Mvondo Ayolo. L’équipementier a exprimé sa disponibilité à toujours accompagner les lions indomptables, même si la FECAFOOT indique avoir définitivement tourné la page.

Une proposition a également été fait a Etoudi par l’équipementier, celle ci concerne particulièrement le domaine du coton au Cameroun.

En effet, selon les différentes réactions et surtout celle du journaliste politologue Boris Bertolt, la fédération camerounaise de football pourrait revenir sur sa décision de rupture de contrat avec l’équipementier français.

Ce jeudi 15 septembre, l’audience a été tenue au tribunal de commerce de Paris. Il est également indiqué que la Fecafoot serait partante pour un règlement du litige à l’amiable avec le Coq sportif.

L’information n’est pas encore confirmée du côté de l’instance faîtière du football. La seule chose dont on a confirmation pour l’heure, c’est que l’audience a eu lieu. Ont pris part aux échanges, les avocats de l’équipementier Coq Sportif, ceux de la FECAFOOT parmi lesquels Me Florian Mbayen-Hegba.

On apprend également que le Directeur général du Coq Sportif, Marc-Henri Beausire et Samuel Eto’o Fils, le président de la FECAFOOT étaient aussi présent à cette audience mais les deux patrons ont suivi la procédure judiciaire en visioconférence.

La procédure a duré près d’une heure de temps. Mais celle ci sera finalement renvoyée à la semaine prochaine notamment le vendredi prochain.

La raison est simple, les avocats de la fédération camerounaise de football ont dit Oui à un arrangement à l’amiable.

Une question stratégique a été posée aux avocats de la Fecafoot devant Samuel Eto’o : « Est-ce que vous êtes prêt pour une conciliation ?

A cette question du magistrat français, les avocats de la FECAFOOT ont répondu sans hésitation avec un OUI.

« C’est alors que le juge a fixé une prochaine audience vendredi prochain. Les deux parties sont invitées à venir avec leurs propositions pour un arrangement à l’amiable. Une chose est donc certaine aujourd’hui : soit les lions indomptables iront au mondial avec Coq Sportif, soit la FECAFOOT devra verser plusieurs milliards de Fcfa de dommages et intérêts. Pour des experts, le montant des dommages et intérêts pourrait rendre la FECAFOOT déficitaire sur plusieurs années. Le chiffres de 10 milliards est avancé », a écrit Boris Bertolt.