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Voici comment La justice française confirme la condamnation de Calixte Beyala

• Calixte Beyala était poursuivie pour diffamation par l’école le Paradis des anges.

• Elle a été condamnée à verser au Paradis des anges des dommages et intérêts en plus de ceux déjà octroyés à l’occasion de la première ordonnance de référé.

• Ce n’est pas la première fois que l’écrivaine camerounaise est condamnée par la justice française.

La première condamnation contre Calixte Beyala dans l’affaire en diffamation qui l’oppose à l’école le Paradis des anges est tombée le 19 avril 2019. Selon le plumitif de jugement, le Tribunal de Bobigny avait ordonné en référé la suppression des publications injurieuses de cette dame recensées entre 2018 et 2019, et l’avait condamnée au paiement de dommages et intérêts au bénéfice tant du Paradis des anges que de sa fondatrice.

En réaction, a cette décision de justice, Calixte Beyala a annoncé avoir immédiatement fait appel de la décision rendue par le Tribunal de Bobigny à l’aide de ses avocats parisiens. Elle aurait même selon le communiqué de l’école nié sa nationalité française. Malheureusement, l’avocat choisi par le Grand Prix du plagiat était en réalité en liquidation judiciaire et par conséquent en interdiction d’exercer la profession d’avocat depuis janvier 2018.

Condamnation confirmée

A la suite de l’appel interjeté par Calixte Beyala, le tribunal a confirmé sa condamnation. La Cour d’appel de Paris a par conséquent prononcé : la nullité de l’appel de madame Beyala ; la condamnation de cette dernière à verser au Paradis des anges des dommages et intérêts en plus de ceux déjà octroyés à l’occasion de la première ordonnance de référé. La dissimulation de procédure arguée par Calixte Beyala n’existant pas en droit français, cette condamnation vient s’ajouter au casier judiciaire déjà bien rempli de l’écrivaine.

Cette dame a déjà été sanctionnée (le 16 octobre 2017 pour nuisances sonores, le 03 juillet 2018 pour trouble à la paix publique par le Tribunal de Première instance de Douala – Ndokoti, le 19 avril 2019 pour diffamation). Une déculottée donc pour celle qui clamait son innocence partout.

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