Urgent : l’unique fille de la dame décapitée à Yaoundé par sa belle sœur a essayé de se suicider voici les détails

• Flavy elle l’enfant unique de Marie France Mbeya

• Sa mère a été assassinée et décapitée par sa belle sœur lundi dernier à Yaoundé

• Après avoir appris la triste nouvelle, Flavy a essayé de se donner la mort

La personne qui avait dit qu’un malheur ne vient jamais seul ne croyait pas si bien le dire. C’est ce qui a failli arrivé à la famille de Marie France Mbya, cette femme assassiné puis décapitée à dans un hôtel au quartier Biyem-Assi à Yaoundè par la femme de son frère cadet. Après avoir appris l’assassinat de sa maman, Flavy, l’enfant unique a failli se donner la mort en France, a appris la rédaction de camerounweb.com.

Selon les informations parvenues à notre rédaction, Flavy est l’unique enfant qu’a fait la regrettée Marie France Mbya, froidement arrachée à la vie par sa belle sœur qui l’a par la suite décapitée à l’hôtel Le Mendzang, situé au quartier Biyem-Assi à Yaoundé, non loin du lycée, avant de dissimuler son corps dans une valise. Flavy vit au 19 ème arrondissement à Paris en France depuis plusieurs années. Elle mère de 3 enfants. Depuis que sa maman a perdu la vie et que les images insoutenables d’elle où on voit son corps dissimulé dans une valise faire le tour des réseaux sociaux, elle piqué une crise et a essayé de se donner la mort hier mercredi en France. N’eut été l’intervention des gens, ce qu’on parlerait d’elle au futur. Elle a eu la vie sauve grâce à ces enfants qui ont alerté le voisinage. Au moment où nous nous mettons sous presse, elle est assistée par son oncle et certains Camerounais de la diaspora vivant à Paris. <<l’union des= » » camerounais= » » de= » » l’étranger= » » informe= » » la= » » communauté= » » que= » » femme= » » assassinée= » » avait= » » une= » » fille.= » » cette= » » fille= » » est= » » son= » » unique= » » enfant.<br= » »> Celle-ci vit à Paris et a déjà essayé de se suicider. Elle ne supporte plus de voir les photos de sa maman sur les réseaux sociaux.Je vous prie d’arrêter la diffusion de ces photos.>> </l’union>, écrit notre confrère Éric Golf Kouatchou, correspondant de Canal 2 à Paris.

Il faut dire que la diffusion de l’image des personnes assassinées surtout de manière aussi atroce et barbare sur la toile n’est pas conseillée. Elle peut avoir des conséquences irréparables. Si Flavy n’avait pas vu le corps de sa mère en morceau dans une valise, circulé sur la toile, ce traumatisme ne lui serait certainement pas arrivé. Il est de bon ton que soyons plus responsable sur les réseaux sociaux et arrêtons de faire ce genre de publication