Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas ont de nouveau affiché leur profond désaccord en vue d’une trêve dans la guerre à Gaza, jetant un froid sur les discussions qui doivent reprendre dimanche au Caire.
Au septième mois de la guerre déclenchée par une attaque sanglante du Hamas le 7 octobre contre Israël, la directrice du Programme alimentaire mondial (PAM), Cindy McCain, s’est alarmée de voir le nord de la bande de Gaza frappé par une « véritable famine », qui progresse vers le sud.
En représailles à l’attaque sans précédent du Hamas, l’armée israélienne a lancé une offensive d’envergure -aérienne puis terrestre- dans le territoire palestinien qu’elle a assiégé, entraînant la mort de 34’654 personnes majoritairement des civils selon le Hamas, et provoquant une catastrophe humanitaire et des destructions colossales. Et les bombardements israéliens n’ont pas cessé.
Après un premier round de discussions samedi au Caire en présence d’une délégation du Hamas dirigée par Khalil al-Hayya et des représentants des médiateurs -Qatar, Egypte, Etats-Unis-, Israël et le mouvement palestinien ont de nouveau affiché leurs profondes divergences en vue d’une trêve.
Samedi soir, un responsable du Hamas a répété, sous couvert de l’anonymat, que son mouvement n’accepterait « en aucun cas un accord ne prévoyant pas explicitement un arrêt de la guerre ».
« Nos informations confirment que (Benjamin) Netanyahu freine en personne un accord par calculs personnels », a-t-il dit à l’AFP à propos du Premier ministre israélien accusé par le Hamas d’entraver tout accord avec ses menaces publiques sur un assaut à Rafah, ville du sud de la bande de Gaza.
Avant lui, un responsable israélien a accusé le Hamas de bloquer tout accord en insistant sur son exigence d’un arrêt de la guerre, et prédit des négociations difficiles.
Il n’y a eu « aucune évolution » au premier round samedi au Caire et de nouvelles discussions sont prévues dimanche, a indiqué un responsable du Hamas, mouvement qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007.
Israël n’est pas présent dans la capitale égyptienne. Selon un autre responsable israélien, des signes de progrès seraient visibles si le chef du Mossad David Barnea emmenait une délégation israélienne au Caire.
D’après le site américain Axios, le chef de la CIA, William Burns, se trouve au Caire.
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