CamerounSociété

Un homme reconnaît sa femme parmi les partouzeurs arrêtés à Douala voici sa réaction

•L’affaire du groupe de **** démantelé n’a pas encore fini de révéler son lot de scandales.

•A peine 24 heures après la mise en ligne de la vidéo, un homme reconnaît parmi les femmes, celle qui était censée être l’amour de sa vie.

•L’homme est inconsolable depuis.

La chroniqueuse camerounaise Binku vient de faire une révélation sur l’affaire de la vidéo du démantèlement d’un groupe de partouze, mise en ligne hier mardi par les gendarmes qui ont procédé à l’arrestations des membres du groupe.

La chroniqueuses révèle ainsi qu’un de ses voisins a reconnu dans la vidéo, la femme qu’il est parti doter en juin dernier.

‘Jai lu que c’est à cause de Binkù qu’une femme est allée voler un téléphone et on a affiché sa nudité. Et que c’est toujours à cause de Binkù qu’on a affiché la nudité de femmes surprises en pleine partouze dans un domicile (assiya à mon voisin qui a reconnu dans la vidéo celle qu’il a dotée le mois dernier )’, écrit Binku dans sa chronique de ce mercredi.

‘N’éduquez pas vos filles et sœurs hein, encouragez-les dans vos discours victimaires à voler des téléphones et des perruques pour paraître ( si c’était même la nourriture on aurait pensé à ses enfants et même ces hommes n’auraient pas eu l’audace de poser un tel acte)’, ajoute-t-elle.

C’est en effet une affaire rocambolesque qui se retourne contre les gendarmes après leur descente dans un domicile au quartier Bonamoussadi à Douala pour arrêter les membres d’un groupe WhatsApp de partouze. Le péché commis par ces gendarmes est d’avoir filmé les membres pour ensuite les faire chanter. Ils réclament le payement d’une forte somme d’argent pour leur libération au cas contraire la vidéo se retrouverait sur la place publique. Une affaire d’anarque qui a mal tourné.

Maintenant, il s’avère que parmi ces personnes arrêtées, figure un gendarme appartenant dans une autre unité que la sienne. Ses collègues demandent sa libération mais se heurtent à une demande de 100000f. L’affaire devient alors un terrain de ring pour deux camps de gendarmes.

L’autre camp parle d’une arrestation arbitraire et accuse les gendarmes d’ingérence dans la vie privée des citoyens camerounais. « Il ne s’agit pas d’une arrestation arbitraire. Nous ne sommes pas ici en violation de domicile, en perquisition, ou pour un mandat de dépôt. C’est le tuyau qui a été filé. Il y a certaines personnes qui essayent d’organiser une partouze. On vous donne la localisation. On attend le bon moment pour agir en tant que gendarmes, sur ordre du Commandant », a rétorqué le Gendarme dont l’unité a procédé à l’arrestation des partouzeurs.

Ce dernier aurait demandé aux membres du groupe de payer de fortes sommes de 100000 à 300000fcfa avant de les libérer. Dans les audios parvenus à la rédaction de Camerounweb, un autre gendarme réclame son collègue qui serait d’après lui un indic.

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