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‘Tu es laid comme une chèvre’ : Pr Nkoyock du RDPC a encore frappé

Pr Jacqueline Nkoyock fait encore parler d’elle. La militante du parti au pouvoir, le RDPC, réputée par ses propos discourtois sur les plateaux de télévision a récidivé. En pleine émission sur LTM, l’universitaire pique une colère noire et insulte copieusement un de ses co-panélistes.

« Toi-même tu es beau ? Un laid comme ça comme un chèvre, une chèvre », a-t-elle répondu à un paneliste qui dénonçait les cultes de la personnalité au Cameroun.
« L’époque de la propagande du « je connais tout », « le président de la République est tellement beau, il n’ y a pas plus beau que lui » est révolue ». Voici la phrase qui a mis la militante du RDPC dans tous ces états. Elle estime que le président de la République qui est également son leader politique a été insulté en mondovision.

Les multiples interventions du présentateur pour ramener Pr Jacqueline Nkoyock ont été vaines. Même la menace de la virer du plateau ne l’a pas dissuadée. Il a continué par insulter son co-panéliste et perturbé le bon déroulement de l’émission pendant de longues minutes.

Une habituée des scandales

Les frasques de Jacqueline Nkoyok ne sont pas passées inaperçues au Cameroun. La militante du RDPC qui a fait preuve d’une insolence poussée lors de l’émission Droit de Réponse de ce 30 août 2020 (sur Equinoxe Tv) a été recadrée par le journaliste Cyrille Kemmegne.

Bernard-Henri Lévy, écrivain, philosophe et cinéaste français, aime à dire que «la présence des intellectuels dans une cité est une clé de la démocratie ».
De quoi le faire suffoquer quand il s’agit de notre pays, le Cameroun. Chez nous, la présence des intellectuels dans la cité est une clé passe-partout de l’autocratie.

Nous en avons encore vu une hier en plateau sur la très sérieuse chaîne « Équinoxe TV ». Durant l’émission « Droit de réponse », cette dame dont je ne souhaite pas donner le nom, par pudeur intellectuelle, mais qui revendique, à tort, le statut de Professeur de sociologie, nous a tous inspiré la nausée.
Tant et si bien que nous, pauvres téléspectateurs de cette émission de grande écoute, nous sommes sentis finalement désabusés.
À se demander à juste titre si ce Professeur des tropiques n’est pas simplement une parfaite névrosée.
On l’a vue, durant les deux heures d’émission, imposer aux téléspectateurs un indicible supplice.
Oui, sans niveau, sans la moindre épaisseur ni arguments de poids face à des contradicteurs lumineux, elle a consenti, sans le moindre succès, tous les « suprêmes » sacrifices.

Pauvre de cette dame, Professeur soi-disant de sociologie, qui a donné toutes les preuves scientifiques que son titre universitaire est royalement usurpé et qu’elle ne peut qu’être de triste mémoire.
De toute évidence, cette femme qui se battait dans « Droit de réponse », sur « Équinoxe » pour défendre le R.D.P.C, était manifestement sans la moindre mémoire.
Visiblement, sur toute la ligne, elle était dépassée.
Inapte qu’elle était à maîtriser le simple accord du participe passé.
Mon calvaire, comme celui des milliers de téléspectateurs, a duré deux heures. Nous en sommes tous arrivés à la conclusion qu’au Cameroun, il n’y a pas de Professeur agrégé.

La plupart sont des personnes à la formation abrégée.
Leurs thèses, à nouveau consultées, ne pourraient aujourd’hui qu’être abrogées.
À cause de ces intellectuels de pacotille, la société camerounaise est aujourd’hui désagrégée.

Cette dame « fatale », en deux heures d’émission, a multiplié à n’en plus finir, des propos inadmissibles.
Une preuve, pour ceux qui pouvaient encore en douter, que dans nos universités, il y a des femmes comme celle de ce dimanche, qui n’obtiennent que des notes sexuellement transmissibles.
Loin de moi l’intention de faire insulte à toutes les intellectuelles camerounaises. Mais qu’il me soit permis de me demander si celle d’hier n’a pas sa seule fortune entre ses jambes.

Et quand bien même une femme de son acabit aurait sa fortune entre ses jambes, elle devrait au préalable s’assurer qu’elle est au moins en jambe.
Est-ce donc vrai que la bonne femme est celle qui n’a pas de tête ?
Est-ce donc vrai que certaines de nos femmes professeurs, du temps de leurs formations, ont passé le clair de leur temps à ne faire que la fête ?
Je ne suis pas de ceux qui ne cherchent les femmes qu’avec les yeux. Je fais partie de ces hommes qui les cherchent davantage avec les oreilles pour entendre ce qu’elles ont à dire.

Mais celle que mon ami, frère et confrère Duval Fangwa a invitée hier dimanche dans « Droit de réponse » n’avait décidément rien à dire.
Au contraire, à longueur du programme, du Professeur Maurice Kamto , elle a passé son temps à médire.
Espérant qu’au sortir de l’émission, elle se voit anoblir.
Je suis d’accord que les femmes sont comme les chevaux. Il n’y en a aucune sans tache.

Mais l’envoyée spéciale du R.D.P.C sur la très regardee chaîne de télévision « Équinoxe TV », n’a que des défauts.
En tous points de vue, elle est une spécialiste des injures.
Nous la faisons aujourd’hui championne des jeux olympiques du parjure.
Une femme sans la moindre intelligence, fût-elle Professeur, est comme un poète qu’on ne lit pas; simplement parce qu’il lui manque de la pertinence.
On n’est pas fait Professeur parce qu’on a probablement profité des promotions obtenues sur les canapés et pour défendre de la main gauche son idéologie, son obédience.

À notre « Professeur de sociologie » qui, a posteriori, ne s’est pas souvenue de ses enfants, de son époux et de ses étudiants qu’elle a forcément déshonorés en tenant le bas du pavé et, surtout, en étant la dernière de la classe dans « Droit de réponse », nous proposons cette réflexion: « La femme est un paradis pour les yeux,, l’enfer de l’âme et le purgatoire de la bourse ».

J’aime à ajouter à cette philosophie que la bonne femme n’est pas celle qui nous fait faire des dépenses excessives parce que tout ce qui l’intéresse, c’est notre bourse.

L’invitée de « Droit de réponse » a eu un seul mérite : celui de nous avoir rappeler qu’il ne faut pas juger une femme sur sa seule mine.
Le faire serait suicidaire. Le R.D.P. C, représenté hier par ce « Professeur de sociologie », a appris à ses dépens que le remède est parfois plus dangereux que le mal. Être Professeur, d’accord. Mais il faut d’abord, au plan intellectuel, faire bonne mine.

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