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S*xtape : dos au mur, Wilfrid Eteki livre (enfin) Martin Camus Mimb voici les détails

 

 

Wilfrid Eteki, l’homme de la vidéo de Malika Six parle

Il a réfuté son ami Martin Camus Mimb

On dit que ces deux personnes font partie d’un groupe de perversions sexuelles

Le Cameroun a un week-end animé. Les foules choquées par les vidéos nues de jeunes filles circulant sur les réseaux sociaux ont déjà réagi. Wilfrid Eteki est la personne qui s’est fait une fellation dans le bureau du journaliste Martin Camus Mimb. Ce dernier a publié un communiqué de presse révélant une partie de la vérité et remis en cause la version fournie par le journaliste Camus Mimb.

Wilfrid Eteki se rend compte que l’incident de la ******* prend une nouvelle tournure et ne veut pas être la seule personne à échouer. C’est pourquoi il prend soin de déterminer implicitement la responsabilité en impliquant son ami Martin Camus Mimb qui tente de s’éclaircir. Wilfrid Eteki a déclaré qu’il connaissait le patron de RSI Radio, ce qui était contraire à la première déclaration du journaliste. Comme le montre la photo postée par Wilfrid Eteki, les deux se connaissaient très bien et se sont rencontrés.

Alors que Martin Camus se croyait victime de la cabale et que l’étranger qui a filmé la vidéo dans son bureau voulait détruire son honneur, ses complices ont rompu le silence et affirmé le contraire.

« L’important est de faire prendre conscience à tout le monde que cette jeune femme nommée Malika n’a pas fait de complot comme beaucoup le croient. Quant à Malika, je lui présente mes sincères excuses. Je le regrette. Set. Elle ne doit pas être lynchée de cette façon, car en plus de son talent, elle vient aussi d’un environnement respectueux. Je m’excuse auprès de RSI pour les dommages possibles à notre accident », a-t-il écrit.

Pourtant, il y a quelques jours, Martin Camus Mimb écrivait : « Cette méthode aux graines préméditées vise clairement à détruire ma paix intérieure et mon honneur, et ne peut rester impunie. Je me réserve de leur dire. Le droit d’aller en justice ».

Groupe de ***** et de proxénétisme WhatsApp

Dans une publication ce dimanche après-midi, Boris Bertolt (Boris Bertolt) a annoncé qu’il était au courant de l’existence du groupe ***** whatsapp auquel appartient Martin Camus Mimb. Le journaliste a déclaré qu’il ne croyait pas à la sincérité de Martin Camus Mihm et de Wilfrid Etteki. Dans une nouvelle publication, il a révélé que les deux journalistes camerounais et de nombreux autres journalistes camerounais sont membres d’un groupe WhatsApp où ils partagent des vidéos de nudité, d’orgie, etc.

« Que Martin Camus Mimb et son ami ont fermé leurs groupes WhatsApp pour pornographie, proxénétisme et pédophilie. Que les choses soient claires. Jusqu’à présent, le pervers narcissique Martin Camus Mihm (à gauche) et son ami Wilfried Etteki (à droite) n’ont jamais accepté de s’excuser auprès de Malika Bayemi. Wilfried Eteki a supprimé son message après s’être excusé auprès de Malicka. Dont Martin qui a pris le relais en mentant ailleurs et en violant le contrat d’édition entre les deux. Un épisode dans lequel je reviendrai », a écrit Boris Bertol.

«Sur cette base, dans les 30 prochaines heures, vous prendrez des photos de ce qui s’est passé devant le bureau de Martin Camus Mimb, le bureau de Martin Camus Mimb et le bureau de Martin, où vous avez pris des photos de la célèbre moto Malicka. Au-delà de l’immoralité, c’est proche de l’indécence, mais le plus profond est le mal. Cependant, je vais ici m’adresser aux amis de Martin Camus Mimb et Wilfried Eteki, qui ont créé un groupe WhatsApp *****, proxénète et pédophile. Dans ce groupe de reporters, d’anciens reporters et de personnalités proches des médias, ils partagent des photos et des vidéos nues de femmes mariées, de jeunes filles et de mineurs ayant des relations sexuelles avec elles. Par conséquent, ils ont négocié avec d’autres personnalités publiques, y compris des membres du gouvernement et ont partagé sa femme et sa fille… ont immédiatement fermé ce groupe. Sinon, je posterai une liste des personnes présentes. La vérité de cette affaire sera sûrement connue. Nous ne permettrons pas à des personnes immorales de déformer la société. Nous avons tous des sœurs, des mères et des enfants, et nous avons la responsabilité de les protéger. Dépêchez-vous et fermez ce groupe. Il reste 29 heures », a-t-il ajouté.

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